Une prolifération de tirages noir et blanc qui jouent essentiellement entre reflet et transparence. Une exposition toute en finesse et sensibilité, qu'il vaut sans doute mieux voir avant celle de Jens Olof Lasthein.
Le Temps qui Pousse ou les Arbres de Roel Jacobs Wassende Tijd, de bomen van Roel Jacobs Photos, collage et projets de Roel Jacobs Textes de Eddy Devolder
HALLES ST-GERY / Place St-Géry, 23 / BRUXELLES 1000 3/02/2010 - 31/03/2010 Tous les jours de 10.00 à 24.00
EXPOSITION «LE TEMPS QUI POUSSE ou les arbres de Roel JACOBS » Depuis des années, le photographe Roel JACOBS a entrepris une quête artistique autour du thème de l’arbre et du temps. Arbre dans la forêt ou arbre monumental ; Temps qui passe sur un monde inondé de lumière où l’homme est spectateur…et acteur. A l’occasion de la sortie de cinq nouveaux timbres de La Poste consacrés aux arbres de la Forêt de Soignes et à l’occasion de l’édition du livre « Arbres de Belgique. Revisited » aux éditions BAI/Blondé nv, Roel Jacobs et la Bibliothèque René Pechère invitent le public à découvrir les fruits de cette quête au travers d’une exposition où les oeuvres photographiques sont confrontées aux textes de l’écrivain Eddy Devolder.
Une exposition agréable à parcourir... même si elle n'est pas de celles dont on garderait un souvenir impérissable. Des panoramiques, uniquement, mais sans l'effet de mode qu'on peut leur trouver dans la plupart des expositions qui leur sont consacrées. Une vision et un regard particulièrement naturels, que renforcent les lumières utilisées: la pénombre d'un espace clos, le crépuscule. Des lumières qui semblent aussi dire le crépuscule (ou serait-ce au contraire, au moins dans certaines photos, l'aube) d'un empire communiste qui s'est effondré. Et, comme d'habitude, même si les expositions temporaires vous plaisent moins... il y a de qui faire avec les collections permanentes (qui, vous le remarquerez subissent ça et là quelques changements)...
Photographies du Fonds Gustave Ruhl (1856-1929) Galerie Wittert / Place du 20 Août, 7 / 4000 Liège 29/1/2010 - 13/3/2010
Originaire de Verviers, descendant d’une importante famille rhénane, Gustave Ruhl (1856-1929) poursuit des études de droit à l’Université de Liège. Sous le charme de la cité ardente, il s‘y installe et ouvre un cabinet d’avocat. Si le droit est sa profession, l’archéologie et l’histoire sont ses passions. C’est ainsi qu’après avoir été membre de l’Institut archéologique liégeois pendant de nombreuses années, il en devient président. Il figure également parmi les fondateurs de la Société verviétoise d’Archéologie et d’Histoire. Plusieurs de ses publications (sur la cathédrale Saint-Lambert notamment) attestent de son intérêt pour l’archéologie. Dans cette même optique, Ruhl se lance également dans la construction de maquettes qui restituent monuments et sites entiers dans leur état passé. Une trentaine de plans en relief (monuments et/ou quartiers de Liège, Verviers, Namur, Cologne …) est à mettre à son actif. En 1930, sa veuve lègue à l’Etat belge, au profit de l’Université de Liège, parmi bien d’autres choses, une collection de plus de deux mille photographies et négatifs. C’est ce fonds d’archives photographiques qui est mis à l’honneur dans le cadre de cette 7ème Biennale de la Photographie. Ces photographies réalisées en partie par Gustave Ruhl lui-même, en partie par d’autres photographes, n’ont pour la plupart jamais été exposées. Illustrations de Liège, de sa région ou d’autres coins de Belgique ou d’Europe, ces images, à caractère essentiellement documentaire, constituent un témoignage précieux de notre passé.
Exposition semi-permanente, accessible du 29 janvier au 13 mars 2010, du 19 juillet au 18 septembre 2010 et du 15 novembre au 22 décembre 2010. Du lundi au vendredi, de 9h à 12h30 et de 14h à 17h ; le samedi, de 10h à 13h.
Il ne vous reste qu'aujourd'hui et demain pour voir cette expo!! Durant trois ans, Christophe LICOPPE, jeune photographe bruxellois, a arpenté en toute légalité les sommets des plus hauts immeubles de la ville à la recherche de clichés exceptionnels. Un projet long à réaliser car ne monte pas qui veut sur les hauteurs des immeubles de la ville ! Toujours prises "entre chien et loup" pour que le ciel soit le plus beau possible, les photographies de ce jeune talent nous font découvrir la capitale sous un nouvel angle. 22 clichés ont été sélectionnés pour être exposés un mois durant (du 18.12 au 29.01) dans la salle des guichets (accueil des touristes) au BIP. L'exposition a lieu à l'occasion de la sortie du livre "Bruxelles la nuit vue des toits", paru chez 180° éditions dans la Collection "Bruxelles, ma belle!".
Sébastien Reuzé / Intime et Universel Contretype / 1, avenue de la Jonction / 1060 Bruxelles 10/2/2010 - 21/3/2010
Cher Jean-Louis, L’exposition que nous préparons pour le mois de février 2010 s’intitulera Intime et Universel. Elle reposera sur le rapprochement de photographies réalisées entre 2002 et 2009, associant, dans leur diversité, un regard porté sur la photographie domestique, sur le paysage, sur l’abstraction, sur la nature morte ou encore sur le portrait. Le choix de cette période tient au fait que j’observe, à partir de 2002, un changement sensible de ma manière de photographier et de mon rapport au sujet. Les cadrages deviennent très structurés, droits, quand auparavant les mouvements paraissaient, en comparaison, empreints d’insouciance. Les sujets observés sont plus graves. On sort alors du travail sériel pour s’orienter vers une existence essentiellement individuelle des images, dont la justification tient dans leur quotient fictionnel, c’est-à-dire dans leur capacité à orienter la lecture, la pensée, la réaction, vers une histoire, vers une fiction, vers une transformation intellectuelle du réel. Un second degré de lecture éloigné des préoccupations didactiques de la photographie documentaire. Je n’ai pas cette vocation. Même si la série Friche, réalisée à l’été 2009 à Berlin - à l’occasion d’une résidence offerte par Air Antwerpen -, présente certaines zones du passage de l’ancien comme une jungle, poussée de vie sur un ancien no man’s land, entourée d’une ville. J’observe dans les choses du réel leur capacité de transformation, je m’intéresse à ces possibles contenus dans une réalité observable que l’on pourrait qualifier de présence fantôme. Pour l’exposition est développé un livre-objet, qui fera partie des pièces exposées, au même titre que des photographies disposées au mur. Ce livre a pour but d’associer les différents travaux réalisés entre 2002 et 2009, mais d’être aussi évolutif: il s’agit d’un livre non relié, aux pages non-numérotées, dont les cahiers sont réorganisables, et dont les feuillets sont des pièces exposables. Imprimé en offset et en plusieurs phases, le livre sera alimenté, en amont comme en aval, au rythme des projets et des expositions. La première phase est un cahier de 64 pages, d’autres phases viendront s’y ajouter ultérieurement, s’y imbriquer littéralement. Les images s’y articulent selon les oppositions et les correspondances qui les rapprochent. Par leur confrontation, les différents sujets observés adoptent un statut quasi identique. Par sa nature, le livre fait le pont entre le document consultable et l’objet d’exposition. C’est dans cet esprit et en songeant à ces projets nouveaux que je me réjouis, cher Jean-Louis, de préparer cette exposition avec toi, Sébastien Sébastien Reuzé remercie l'Ambassade de France à Bruxelles pour son soutien
Avec sa série Silences, Christophe Collas cherche à exprimer, au travers d’images en couleurs et de format carré, une certaine conscience du temps. Le temps qui s’écoule lentement, le temps qui fuit ou le temps qui s’arrête. Autant d’images différentes qu’il y a de temps : celui du corps, celui des âges, celui des lieux, celui de la ville ou encore celui du silence. Chaque image puise sa matière dans le quotidien ou dans l’intime. Elles sont prises de manière instinctive sans faire appel à la mise en scène. Images immobiles et muettes, c’est dans les interstices, dans l’ombre ou dans le hors-champ que leur sens se révèle. A découvrir absolument !
Venezian Eyes / Benjamin Struelens Theatre Marni / 25 rue de Vergnies / Ixelles 1050 10/02/2010 - 05/04/2010 Vernissage le jeudi 25.02 à 19:00 / Visible les soirs de spectacles dès 19:30. Entrée libre
Benjamin Struelens nous a donné avec bonheur ses regards sur New York ("Nude York") et sur la Havane ("Havana Blue") à travers deux livres parus aux éditions Luc Pire. Il nous revient cette fois avec des trésors de Venise! Livre disponible aux éditions Luc Pire
Artistes : Atypik - Elisabeth Barbosa - Yvan Benoit - Pascal Bernier - Delphine Boël - Ulrike Bolenz – Jo Brouillon - Martin Cherel - Céline Churlaud - Nathalie Contenay - Pascal Courcelles – Olivier Crusells - Dai dai Tran - Doberman & Strom - Karin Fridriks - Sylvain Lang – Le Coup du Lapin - Eric Liot – Loeilpartoo - Gwen Marseille - Eugenio Merino - Frédéric Périmon - Noémie Sauve - Michel Soubeyrand - Ian Stuyve - Patrick Thomas – Titi from Paris - Yves Ullens - Eric de Ville - Chris Von Steiner - Drew Walker - Sophie Wouters
New York Sleeps / Christopher Thomas 22/01/2010 – 6/032010 Vernissage: 21/01/2010 18-21h FIFTY ONE FINE ART PHOTOGRAPHY / ZIRKSTRAAT 20 / 2000 ANTWERPEN
Le photographe belge Benjamin Struelens met aux enchères sur le site de Geomoun.org 10 impressions 83cm/125cm collées sur aluminium de la photo reproduite dans cet article. L'argent est recueilli en vue de soutenir massivement la réhabilitation et la reconstruction de Timkatec, projet soutenu depuis 10 ans par l’ONG GEOMOUN.
Les fonds serviront les objectifs suivants : . Accueil des enfants qui seront indubitablement nombreux à venir frapper à la porte du centre pour être accueilli . Reconstruction ou réhabilitation des bâtiments du projet . Aide aux familles (parents des enfants, personnel des Timkatec) pour la reconstruction de leur habitat.
La vente aux enchères se clôturera le samedi 30 janvier à 18h.
Carl De Keyzer / Congo (belge) Fotomuseum d’Anvers / Waalse Kaai 47 / B-2000 Anvers 22/01/2010 - 16/05/2010
L'année 2010 commence sous le signe du Congo au FoMu pour célébrer les cinquante ans de l'indépendance. 3 expositions auront lieu sur le Congo et l'Afrique. A partir du 22 janvier, l'expo 'Congo (belge)' de Carl De Keyzer. Au même moment 'Congo belge en images', une sélection inédite extraite des archives du musée royal de l'afrique centrale de Tervuren. Et enfin, à partir du 23 février, 'Borders', une sélection de la biennale de photographie de Bamako (Mali) de 2009.
Carl De Keyzer est un photographe belge de renommée, membre de l'agence Magnum. En même temps que cette exposition, parait chez l'éditeur Lannoo, un livre de photographies sous le même nom.
LA PHOTOGRAPHIE COMME OUTIL CONCEPTUEL par CATHERINE MAYEUR, historienne de l'art SAMEDI 23.01.2010 / 10:30 > 12:30 Organisé par Jeunesse et Arts Plastiques
Du 15 janvier au 27 février 2010, Aeroplastics Contemporary présente une exposition monographique de l'Américain Terry Rodgers (1947). Dans ses tableaux, Terry Rodgers met en scène de jeunes hommes et femmes à la plastique parfaite - du moins en regard des critères actuels de la mode et de la publicité. A moitié dévêtus, adoptant des poses lascives dans des décors surchargés et luxueux, arborant bijoux et accessoires, une flûte de champagne à la main, ses personnages évoquent la décadence de l'Empire et l'insouciance d'une certaine jeunesse dorée. Mais bien davantage qu'un monde en manque de repères, c'est la peinture elle-même qui est mise en question et, par-delà, notre manière de nous représenter la réalité. "Nous vivons dans le liquide amniotique de nos petits mondes, heureux en compagnie de nos préjugés", cette phrase de Terry Rodgers résume bien la philosophie qui sous-tend son travail, et le rapport qu'il entend tisser avec le spectateur. Au premier regard, il est tentant de décrire ces compositions comme des évocations d'after-parties orgiaques, à mi-chemin entre voyeurisme et réprobation moralisatrice. Mais une lecture plus attentive révèle l'absence de rapports entre les personnages qui, s'ils se touchent parfois, semblent incapables d'établir la moindre forme de communication, et n'en manifestent d'ailleurs pas le désir. Isolés dans leur bulle, les acteurs adoptent des poses artificielles, qui renvoient aux stéréotypes que nous projetons sur eux. "Mes tableaux décrivent des mondes imaginaires créés au départ des offres véhiculées par les médias - luxe, richesse, ainsi qu'une version validée de la beauté et du désir, le tout traversé par une dose de réalité. A quel point est-ce difficile pour les participants à ces scènes de sortir d'eux-mêmes et de se ‘connecter' les uns aux autres ?" Pour Terry Rodgers, tout passe par la photographie. "J'ai pris des milliers de photographies, et j'en prendrai encore des milliers, pour tenter de découvrir les expressions et les gestes qui, je pense, révèlent la combinaison entre la confusion intérieure et extérieure du monde dans lequel nous vivons." Ces modèles sont pour la plupart des anonymes, croisés dans la rue, qu'il invite à venir poser dans son studio. Il assemble ensuite ces différentes scènes en vastes compositions, renouant de la sorte avec la technique des maîtres anciens. Quant au choix d'utiliser des très grandes toiles, il évoque les débuts du Réalisme, lorsque Courbet créait le scandale en représentant un enterrement anonyme dans un format jusqu'alors réservé aux scènes héroïques, mythologiques ou religieuses. Mais si les tableaux reposent sur une technique méticuleuse, les dessins tentent au contraire de capter l'énergie du moment en quelques traits ; les poses ne sont jamais choisies par hasard, et reflètent ce que l'artiste décrit comme des conventions utilisées pour caractériser les individus et les types sociaux. Dans ses photographies en noir et blanc plus anciennes, la beauté stéréotypée fait parfois place à la laideur la plus dérangeante, avec des individus masqués et difformes. "Certains personnages dans les images correspondent aux canons occidentaux de beauté, tandis que d'autres les défient. On peut percevoir, à travers ces images, que l'âme ne réside pas dans l'enveloppe physique extérieure." La vidéo joue également un rôle central dans l'élaboration des tableaux : depuis l'avènement de la "téléréalité", la télévision est devenue le symbole par excellence de brouillage entre fiction et réalité. L'exposition présente également des caissons lumineux dont les images, retravaillées numériquement, semblent mêler différents modes de représentation du réel. "Ici, je joue avec plusieurs techniques pour rendre perceptible, simultanément, notre rapport au monde. Et je rends évidente la distinction entre les différents langages - les découpages sont volontairement approximatifs, visibles." Pour Terry Rodgers, cette juxtaposition est comme une métaphore d'un monde composé d'une multitude de fragments, et que nous percevons erronément comme un tout uniforme, "nous avons tendance à oublier que tout ce que nous voyons, ou portons, est ‘inventé'. Notre expérience de vie est comme un jeu multidimensionnel, dont les pièces sont constamment en mouvement." P.-Y. Desaive
Après une interruption de quelques semaines (voir Interlude) et mes dernières vraies photos prises au Liban... j'avais aujourd'hui le corps tout autant que/y compris la tête prêts pour une première sortie photographique... Mon cou manque encore bien de mobilité... mais au moins il m'arrive enfin à nouveau de regarder à gauche et à droite plutôt que de rester fixé vers l'avant, comme un cheval aveuglé par ses oeillères... Allez... avec un peu d'entrainement, dans quelques semaines je produirai sans doute à nouveau quelques photos montrables...
Outlandish - platform for young photography / getting down to the nitty gritty Outlandish en collaboration avec Pierre Debroux et des photos de Bernd Kleinheisterkamp, Sara Claes, Bieke Depoorter, Jan von Holleben, Dana Lauren Goldstein, Jimmy Kets, Charles Fréger, Elspeth Diederix, Pierre Debroux, Wyne Veen, Anouk Kruithof, Sarah Van Marcke, Sarah Gerats, Jonathan Jacques. 14/1/2010 - 28/1/2010
Outlandish sélectionne le travail de divers photographes, belges ou internationaux. L'exposition comporte des dizaines de photos de 2 m2 qui ont été accrochées dans les bâtiments de Group S (en face de Recyclart, donnant sur les chemins de fer). Les oeuvres seront visibles depuis le train et le perron de la gare de Bruxelles-Chapelle de 16h30 à 23h30 et de 05h30 à 08h30, du 14 janvier au 28 février. Le jeudi 28 janvier se déroulera une vente des oeuvres exposées à la Galerie Outlandish.
BIP2010 / 7e Biennale de la Photo à Liège 28 février 2010 / 25 avril 2010 Thème: (Out of) Control.
Pour sa 7ème édition, la Biennale internationale de la Photographie et des Arts visuels de Liège change de nom et devient BIP2010. Du 28 février au 25 avril 2010, sept expositions principales se tiendront à Liège autour du thème (OUT OF) CONTROL. Cette thématique vient interroger notre société, de plus en plus tournée vers la sécurité, la surveillance, la maîtrise et le «voir plus, voir mieux, voir tout». L'exploration de ces aspects du contrôle rencontrera inévitablement son inverse : le désir, l’accident, le hasard, la folie, l’imprévisible, l’invisible… Une centaine d’artistes ont été invités à BIP2010, faisant de cette édition l’une des plus étoffées et des plus riches. Autour de la photo, de la vidéo et des arts visuels au sens plus large, on retrouvera des artistes de renommée internationale ainsi que plusieurs jeunes créateurs à découvrir absolument. Le pays invité de BIP2010 est l’Allemagne. A cette occasion, nous avons l’immense plaisir d’accueillir une exposition montée spécialement pour BIP2010 par deux des plus prestigieux commissaires berlinois, le Dr. Matthias Harder (Helmut Newton Stifftung) et Félix Hoffmann (C/O Berlin). L’exposition OUT OF CONTROL - BERLIN sera présentée au Grand Curtius, récemment réouvert au grand public après une rénovation exceptionnelle. A noter également, la spectaculaire installation The Chase du collectif suisse Fact, qui sera visible à partir de décembre 2009 et jusqu’à la fin de BIP 2010 sur le rond-point St-Nicolas (quartier d’Outremeuse, en face du Théâtre de la Place). BIP2010 déborde également les frontières de Liège. En effet, à l'invitation de BIP2010, le Z33 (Hasselt), le Ludwig Forum (Aachen), le musée Het Domein (Sittard), le SCHUNCK* (Heerlen) et l'IKOB (Eupen) présenteront également une exposition en lien avec la thématique. Le vernissage des expositions de BIP2010 aura lieu le 27 février 2010 dès 13h et sera suivi par une grande fête «OUT OF CONTROL» organisée au Manège de la Caserne Fonck. Cette soirée d'ouverture de BIP2010 est organisée en collaboration avec le Théâtre de la Place qui clôture, le même jour, le festival Pays de Danse.
Coproduction: BOZAR EXPO | Consejo Nacional para la Cultura y las Artes (CONACULTA) | Ambassade du Mexique à Bruxelles | Instituto Nacional de Bellas Artes (INBA) | Centro de la Imagen
Expo: Isabelle Detournay / Indian Portraits Du dimanche 17 janvier au samedi 20 février 2010 Maison Culturelle d'Ath / Château Burbant / Rue du Gouvernement / 7800 Ath
Depuis dix ans, ses voyages en Inde se sont succédés. Isabelle Detournay y a, peu à peu, entamé une série de portraits au gré de ses rencontres, pour se souvenir. Sans préparation à la prise de vues, dans l'instant et le décor du moment, les modèles posent longuement ou furtivement... Précieux moments de route, collectionnés un à un. Au delà de sa qualité de photographe, elle a la faculté d'aller à la recherche de la différence, de l'altérité, à l'opposé du sensationnalisme. Ses photographies sont le reflet de sa proximité avec l'autre.
Corentin Walravens / Photographies Artemisa / Chaussée de Wavre, 319 / 1040 Etterbeek 19/01/2010 - 7/02/2010 (du mardi au vendredi 12h30 à 14h et le samedi de 12h30 à 17h ou sur rendez-vous) vernissage le vendredi 22 janvier de 18h30 à 21h
La Galerie Artemisa présente Corentin Walravens. "De ses voyages, Corentin Walravens nous rapporte des images où lumières et couleurs s'élaborent dans l'instant de la rencontre. Les inconnus se livrent, conscients ou non d'être photographiés. Un regard tendre et incisif qui allie individualité et universalité."
SIXTY WAYS TO... / photographies de Eric Eggerickx Galerie 10/12 14/01/2010 - 13/02/2010 (du mercredi au samedi de 14 à 18 heures) vernissage le 13 janvier à 18 heures
Une installation de 60 portraits, dans le quotidien d'une relation. Soixante façons de te regarder. Soixante façons de te le dire. Soixante façons de… Ce que nous voyons laisse des traces dans notre mémoire. Comme un puzzle qui se construit, mouvant, notre souvenir se dessine avec ces empreintes. Comment construire un mur pour une histoire d’amour, ou pour son rêve ?"
10/12 est un nouvel espace dans le quartier Saint-Géry à Bruxelles, ouvert à toutes disciplines artistiques. 10/12 est un lieu d’exposition, un atelier de création et une vitrine visible de l’extérieur. 10/12 est une association, indépendante et sans but lucratif, de 8 artistes plasticiens, photographes, vidéastes, peintres, scénographes, musiciens et performers. 10/12 expose les travaux de ses membres fondateurs et propose d’accueillir d’autres projets et concepts artistiques.
Michel Couturier. Le bois sur l'autoroute 14/01/2010 - 06/03/2010 Rossi Contemporary / Rivoli Building - ground floor #17 / 690, chaussée de Waterloo / 1180 Brussels
MICHEL COUTURIER (1957) / Principalement au moyen de la photographie et de la vidéo, Michel Couturier poursuit un travail qui, de diverses manières, a trait avec l'architecture et l'espace public. Depuis 2001, il aborde la ville et ses périphéries par le biais du récit mythologique et de ses résurgences, souvent inattendues, dans notre espace contemporain.
Christian Carez / Mishmash ou la confusion ISELP / Boulevard de Waterloo 31 / 1000 Bruxelles 18/12/2009 - 16/01/2010
Peut-on jouer avec l'Histoire et avec nos souvenirs les plus intimes, famille, amours, engagements politiques? Comment se nomme ce qui remonte à la surface, cette écume composite, ces taches de lumière sur fond sombre où ce que nous croyons voir se déplace sans cesse ? Mishmash: c'est le nom que les enfants des rues de Bruxelles donnaient au mélange d'eau et de terre avec lequel ils jouaient, il n'y a pas si longtemps. C'est, en yiddish, la confusion. La réponse est là. Au départ d'un magma faire surgir une forme. Activité ludique et grave où l'homme qui revoit sa vie (...) retrouve l'enfant qu'il était, l'affabulation qu'est tout travail de mémoire. Un récit qui ne se donne pas d'emblée mais en fascination pour cette succession d'images si limpides et si ambiguës à la fois. (Extrait d'un texte de Caroline Lamarche)
Exposition collective "Art Passion" Présentant notemment les œuvres de Jean LEROT, photographe. Galerie d’exposition Intimerrance / rue Vandervelde, 95 / 6110 MONTIGNY-LE-TILLEUL. 22/1/2010 (à partir de 19H00), du 23/01/2010 au 6/02/2010 (mercredi et samedi de 15 à 17H00, vendredi de 17 à 19H00).
YANG / Lolita in Shenzhen Stieglitz19 / Arthur Goemaerelei 19 / 2018 Antwerpen 8/01/2010 - 7/02/2010
Yang Junpo est considéré comme le maître de la photographie noir et blanc dans la nouvelle mégapole de Shenzhen . Sa série "Lolita in Shenzhen" dépeint son interprétation de la femme idéale dans les rues de Shenzhen. Comme dans la série "Women" de Winogrand, il était à la recherche d'instants intacts de la vie des femmes chinoises, leurs mondes idéaux, l'irréalité de l'exceptionnel. Femme dans les rues, dans des salons de beauté, fonçant vers leur boulot ou posant en robe de mariée au coin d'une rue animée à l'heure de pointe. La beauté du moment, la photographie pure. Ce photographe, complètement ignorant de notre histoire photographique, nous montre son utopie, dans la tradition des photographes des années 50.
Expo: Fanette Chavent, Colombe Nicolas / Le monde me parle Halfenhalf asbl / 19, rue de la clé / 1000 Bruxelles 08/01/2010 - 25/01/2010 (Vernissage le 08/01/10, 18h) Ouvert du vendredi au dimanche / 14:00-19:00 ou le jeudi sur rendez-vous
Il s'agit d'une collection photographique sur le rapport de notre société et des mots qu'elle utilise à travers ses vitrines et enseignes de magasin, les traces et autres écrits laissés par les personnes, ses publicités, etc. Notre attention est constamment sollicité par des "phrases choc" et des mots équivoques, souvent en complet décalage entre le sens qu'ils véhiculent, leur pouvoir d'évocation et le contexte dans lequel ils s'inscrivent. Ce travail a été commencé en 2003 par ces deux artistes et mené simultanément depuis lors dans différents lieux. Ces photographies parlent de notre époque, parfois avec tendresse, parfois avec humour et souvent de façon critique.
Vous voulez vous dégouter de la voiture? Faites donc un accident aux Pays-Bas... où un carrossier propose au choix, le prêt d'une voiture de remplacement, ou le cadeau d'un vélo... Apparemment, le coût serait le même... Evidemment, pour eux, ça fait aussi tout un parc de voitures en moins à gérer... et d'espérer qu'à terme, les clients de la carrosserie s'y rendront systématiquement avec leur propre vélo dans le coffre...
Et hop ! encore quelques paquets de CO² en moins...
Mais espérons que, la voiture réparée, les nouveaux propriétaires ne jettent pas le vélo!
Et pour rester, comme hier, sous la douche et continuer à économiser l'eau... Puisqu'une douche consomme plus ou moins 60 litres... prenez la donc à plusieurs... (disons à deux, par exemple !)...
Et imaginons donc qu'au lieu de consommer deux fois 60 litres, on n'en consomme plus que 90... Ca fait toujours 30 de gagnés... Deux fois par semaine? (Eh oui, on n'a pas toujours les mêmes horaires ni les mêmes envies...) et ça nous fait 3000 litres économisés... 3 mètres cubes qui s'ajoutent aux deux (1 pour monsieur et 1 pour madame) déjà économisés hier... Vive l'écologie! Et si on continue comme ça, on va finir par pouvoir remplir la piscine...
Faire pipi sous la douche pour sauver la planète... c'est le slogan de l'ONG brésilienne SOS mata Atlantica
Un pipi ? 3 litres d'eau au moins, 6 ou 10 litres si vous ne faites pas attention d'utiliser la touche économique de votre chasse. Et c'est autant d'eau potable qui s'en va dans les égouts... A raison d'une douche, et d'un pipi, par personne et par jour... ce sont donc au moins 1000 litres (1 mètre cube) que vous économisez par personne chaque année avec ce geste si simple...
Les sites avec fond noir et texte blanc sauveront-ils la planète?
C'était ce que certains croyaient en 2007, annonçant que Google en noir permettrait d'économiser 750 Megawatt-heures par année. Et l'on a vu apparaître quelques sites militants élaborés sur ce mode. Bonne idée, sauf que les moniteurs LCD ont réduit l'intérêt de ce style de présentation.
Bataille perdue... que non que non... Dark Google ne cesse pas de s'adapter... et de proposer de nouvelles approchez d'économies d'énergie pour le web. "A greener world starts with greener web" (un monde plus vert commence avec un web plus vert)...