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Essayons de ne pas en rester au niveau du café du commerce ("Tout fout le camp ma bonne dame! C'est la faute aux étrangers! ...") mais il faut reconnaître que nos labos photo ne sont plus ce qu'ils étaient.
Depuis deux années à peu près, l'argentique est vraiment devenu le parent pauvre. Avant, les films 120 et 220 avaient encore un statut privilégié: c'était la filière "professionnelle"... On ne développe plus qu'un jour par semaine (auparavant deux); les rythmes de livraison sont devenus un peu plus aléatoires... Et pour peu qu'il y ait l'un ou l'autre jour férié qui se glisse dans le planning - comme ces semaines ci - les délais sont augmentés d'autant...
Mais, bon. S'il n'y avait que les délais, je m'en accomoderais bien (d'ailleurs ne suis je pas un adepte de la slow photography).
Première expérience douloureuse l'an dernier. J'avais commandé d'un seul coup: développement, planche contact, tirage et CD. Les pochettes sont retournées trois fois au labo avant que l'ensemble de la commande ne soit réalisé...
Manifestement, avant de faire le boulot, on ne lit pas les instructions sur les pochettes... et, avant l'expédition, personne ne contrôle la conformité de ce qui a été produit avec la commande initiale.
Deuxième expérience douloureuse, hier. Je réceptionnais une bonne vingtaine de tirages 20x20... et sur chacun d'entre eux figurait une tache. La même partout. Sur deux films différents.
Zut et crotte! A nouveau, personne ne regarde le boulot qu'il fait. On expédie pour plus de 100 euros de tirages et on ne prend même pas la peine de regarder ce qu'on fait! Les labos fonctionnent en pilotage automatique...
Bon, ce n'est pas encore fini (si j'en crois mon expérience précédente)... Mais j'espère ne pas avoir trop tôt à raconter ma troisième histoire de laboratoire qui bat de l'aile...
PHOTOGRAPHES SELF-MEDIA
par PASCAL BEAUSSE
Jeunesse et arts plastiques
Musée de la Photographie, 11 avenue Paul Pastur — 6032 Charleroi (Mont-sur-Marchienne)
JEUDI 07.04.2011 / 19:00
Comment rendre compte du monde actuel ? Est-il possible d’informer le réel depuis la sphère spécialisée de l’activité artistique ? Est-il envisageable de produire des images alternatives à celles qui sont fournies quotidiennement par les professionnels de l’information ? L’art n’a pas grand chose à voir avec le journalisme. Face aux mécanismes de propagande et à l’omnipotence des mass media, des artistes produisent pourtant aujourd’hui ce que l’on peut appeler des contre-informations. Ils travaillent dans le monde, et approchent des situations sociales, politiques et historiques bien précises, en inventant pour ce faire des dispositifs et des formats insoumis à la norme médiatique. Ce sont des self-media, agissant hors de la sphère professionnelle de l’information, avec d’autres méthodes et d’autres finalités. Parce que la représentation du monde actuel ne saurait être l’apanage du « quatrième pouvoir ». J’aimerais évoquer ici particulièrement deux d’entre eux : Allan Sekula et Bruno Serralongue, qui appartiennent à deux générations différentes et représentent les acteurs et événements participant de l’alter-mondialisme, mais aussi Lidwien van de Ven, Philippe Durand et Sven Johne. Photographes, ils ont fait le choix de réinventer les stratégies et protocoles documentaires, pour mettre en œuvre un réalisme critique.
Pascal Beausse est critique d’art et commissaire d’exposition. Il est responsable des collections photographiques du Centre national des arts plastiques (Paris). Il enseigne l’histoire et la théorie de la photographie à la HEAD, Haute école d’art et de design de Genève.
Mirages, Fountains & Dissociative Composition
26/4/2011 - 4/6/2011
Galerie Catherine Bastide / Rue Vandenbrandenstraat 1 / 1000 Bruxelles
Travaux divers de Julien Bismuth (FR), Jean-Pascal Flavien (FR) , Geert Goiris (BE), Ed Johnson (US), Helen Marten (UK), Matthew Metzger (US), Leigh-Ann Pahapill (CA), Valerie Snobeck (US), Catherine Sullivan (US), and Emily Wardill (UK).
Arts à Glabais / Habiter Genappe
29/4/2011 - 1/5/2011
www.ccgenappe.be
Habiter Genappe / Habiter Hors de (chez) soi
Un projet socio-artistique développé sur le territoire de Genappe avec ses habitants
Quelles relations les Genappiens entretiennent-ils avec leur chez eux, comment le perçoivent-ils, comment le rêvent-ils? Et quel regard posent-ils sur leur environnement? Trois artistes, aux multiples facettes, ont été associés à cette réflexion.
* Emilie Danchin est à la fois photographe et psychothérapeute. Elle développe un projet socio-artistique avec un groupe d’habitants en insertion sociale formé par le C.P.A.S. de la ville de Genappe.
* Jorge Rojas Castro est photographe. Dans son travail documentaire, il s'intéresse aux questions de l'identité et de la transmission des valeurs et traditions à travers la mémoire. Il développe une démarche créative et participative avec les résidents du camping de Glabais.
* Lucile Bertrand est artiste plasticienne. Elle prend en charge le processus créatif impliquant les habitants du village de Glabais.
Photo: Stephen Shore / Cumberland Street, Charleston, South Carolina, August 3.1975
YOU ARE HERE (CASPAR, Peter DOWNSBROUGH, Frederic FOURDINIER, Dan GRAHAM, Katie HOLTEN, Michel MAZZONI, Valentin SOUQUET & Emilie PISCHEDDA, Stephen SHORE)
VRAC/L’ESCAUT / Rue de l’Escaut, 60 / 1080 Bruxelles
22/4/2011 - 14/5/2011
Nous sommes heureux de vous proposer cette exposition qui réunit des artistes de renommée internationale tels que Peter Downsbrough, Dan Graham ou Stephen Shore et de plus jeunes artistes émergents autour de l’idée de territoire. L’exposition s’inscrit dans le programme OFF(iciel) de la foire d’art contemporain Art Brussels. Nous espérons ainsi attirer l’attention sur ces artistes ainsi que sur l’activité d’un lieu culturel encore trop peu connu à Bruxelles.
Le titre de l’exposition YOU ARE HERE évoque ce petit logo universel (deux cercles concentriques rouge) que l’on retrouve sur certaines cartes. Il a une fonction pratique et rassurante afin de se localiser dans un environnement. Il s’agit donc de la précision d’un lieu qui s’inscrit dans un espace, notion qui désigne une étendue, mais aussi la perception de celle-ci. L'espace est donc la forme de notre expérience sensible. Ceci nous conduit à la notion de territoire, qui sert de fil conducteur à cette exposition.
Le territoire est défini comme un espace qualifié par une appartenance juridique ou par une spécificité naturelle ou culturelle. Dans leur Dictionnaire de la géographie et de l'espace des sociétés, J. Lévy et M. Lussault en proposent une belle définition : « L’agencement de ressources matérielles et symboliques capables de structurer les conditions pratiques de l'existence d'un individu ou d'un collectif social et d'informer en retour cet individu ou ce collectif sur sa propre identité ». Quelle que soit sa nature, un territoire implique l'existence de frontières (dans le cas d’un territoire « politique ») ou de limites (pour un territoire « naturel »).
L’art contemporain lui-même peut être perçu comme un territoire en constante redéfinition. Production de formes, représentations du monde, phénomènes de perception, il construit des espaces qui lui sont propres. Il n’est pas pour autant un monde clos et immobile. L’art est une forme d’exploration perpétuelle, une re-écriture permanente de notre monde. Certains artistes ont développé, au travers d’engagements artistiques variés, une pensée subtile de l’espace, de l’étendue, de la limite et bien sûr du paysage, y apposant, chacun à leur manière, une marque (trace) éminemment constitutive de l’idée de territoire. « Constituer un territoire, c’est presque la naissance de l’art » déclare Deleuze, et la gestuelle de l’animal qui marque son territoire n’est finalement pas si éloignée de celle de l’homme qui, se déplaçant et agissant au sein d’un espace, aussi bien réel qu’abstrait, y définit des limites, à la fois physiques et mentales, déterminant ainsi surtout un pouvoir et un champ d’action.
L’exposition YOU ARE HERE rassemble des artistes contemporains qui abordent cette notion de territoire. Sa vocation n’est ni exhaustive, ni analytique ni historique. Ce thème est un dénominateur commun qui relie les travaux d’artistes de différentes générations, originaires de différents endroits et utilisant différents medias tels que la photographie, la vidéo, le dessin, la peinture ou la sculpture. Les pratiques de ces artistes contemporains témoignent de la porosité des champs culturels, politiques, économiques et sociaux. L’exposition approchera ainsi des thèmes tels que la perception d’un espace et sa (dé)limitation (Dan GRAHAM, Peter DOWNSBROUGH), l’exploration d’un territoire (Stephen SHORE), la stigmatisation du paysage (Frederic FOURDINIER, Michel MAZZONI), la mobilité et l’espace de transition (CASPAR), la propagation « virale » transfrontalière (Valentin SOUQUET / Emilie PISCHEDDA) ou encore une approche intimiste de la cartographie (Katie HOLTEN).
Cette exposition à VRAC/L’ESCAUT (Laboratoire d’expérimentations artistiques en relation avec un atelier d’architecture). Le choix de la thématique de cette exposition est évidemment liée à l’activité de ce lieu très particulier à Bruxelles.
Modèle: Kriss
Frederic Chaubin / CCCP - Sovietic architecture / Cosmic Communist Constructions Photographed
31/3/2011 - 31/5/2011
TASCHEN Brussels / 18 rue lebeaustraat / 1000 Brussels
Ormiga / Songes de Femmes
Galerie "l'Art en Ligne" / Rue de Gavre, 48 / Ligne (7812)
30/4/2011 - 15/5/2011
Une exposition sur le thème de la femme.
Cinq peintres ou photographes égaieront de leurs œuvres les cimaises de la galerie et deux sculpteurs ou céramistes présenteront leurs créations.
Espace Art Gallery a le plaisir de vous convier à l’exposition :
Urs Walter HUBER / Suisse Tic-Tac (Trio d'Investigation Culturelle - Trio d'Artistes Contemporains)
27/4/2011 - 15/5/2011.
Espace Art Gallery / 35 rue Lesbroussart / 1050 Bruxelles
Gilles HIRT (Ch) peintures, Gilbert WENGER (Ch) peintures + métal, Urs Walter HUBER (Ch) photos / peintures & Régine CAUDWELL (Fr) sculptures
Anne de Gelas et Christophe Collas
Cultuurcentrum Hasselt / Kunstalaan 5 / 3500 Hasselt
29/4/2011 - 26/6/2011
Photo: Jürgen Nefzger, série Fluffy Clouds, 2003-2006
Jürgen Nefzger / What a wonderfull world / conférence
IHECS / Auditoire BV2 / Rue du Poinçon, 15 / 1000 Bruxelles
28/4/2011 - 18h30
Organisation Espace photographique Contretype et Ihecs
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Réservation souhaitée à l'IHECS: laurent.poma@galilee.be
Né en Allemagne, Jürgen Nefzger vit et travaille à Paris. Il est diplômé de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie (Arles) et enseigne la photographie à l'Ecole Supérieure d'Art de Clermont Communauté.
SEYDOU KEÏTA@FIFTY ONE FINE ART PHOTOGRAPHY
29/4/2011 - 11/6/2011
FIFTY ONE FINE ART PHOTOGRAPHY / ZIRKSTRAAT 20 / 2000 ANTWERPEN
"Fifty One Fine Art Photography is proud to present a solo show of the Malian photographer Seydou Keïta (1921-2001). The significance of his exquisite portrait photography changed from being a personal portrayal to a masterpiece of art.
In the period that Seydou Keïta opened his studio in Bamako in 1948, owning a portrait photograph became a symbol of modernity of the middle class. At that time Keïta didn’t consider himself as an artist. Upon the growing requests by his clients Keïta composed a representation of his customers, influenced by the French style, by using Western outfits, accessories and the careful chosen position of his models.
Until today, Keïta’s photographs travel the world and are exhibited in numerous museums and art galleries. His work has gained a completely different status and has been recognized as artwork by the Western market.
Through his black & white photographs Seydou Keïta registers the colourful social life in Bamako between 1948 and 1977. His portraiture not only has a historical/cultural value of a place in time, but also renewed the way the Western art world looks at portrait photography.
In 2001 Seydou Keïta passed away. Ten years later Fifty One Fine Art Photography wants to celebrate the legacy of this self-taught photographer who is recognized as the father of African photography and considered to be one of the greatest photographers of the 20th century."
Audrey Leblanc / Kayoko Kanda et Ippei Hosaka
Contredanse asbl - Maison du Spectacle-La Bellone / 46 rue de Flandre / 1000 Bruxelles
12/4/2011 - 12/6/2011
Ces photographies s’inscrivent dans un projet portant sur la danse contemporaine et son appropriation par différentes cultures et différents corps. Art récent, elle ne se développe pas de la même façon dans les différents pays. La photographe suit le danseur au travail.
Cette nouvelle série photographique d’Audrey Leblanc, accorde une place particulière au travail de la chorégraphe Tombo (Kayoko Kanda) en solo ou dans l’élaboration de sa pièce Une réverbération…comme à la radio avec Ippei Hosaka.
Infos: http://letmemakeart.tumblr.com/
Aujourd'hui... "There are 7,874,596 sites with a better three-month global Alexa traffic rank than Biloko.blogspot.com." ... et il y a un mois "There are 15,057,175 sites with a better three-month global Alexa traffic rank than Biloko.blogspot.com."
7.182.579 millions de mieux...
Source: Alexa
America & Lewis Hine / Etats-Unis – 58’ – 1984
Réalisation : Nina Rosenblum, Daniel V. Allentuck
Centre du Film sur l'Art & le Musée de la Photographie / 11 avenue Paul Pastur (GPS: Place des Essarts / 6032 Mont-sur-Marchienne
Hine est un très grand photographe, un de ceux qui ont laissé, avec Evans et quelques autres, les images les plus fortes de l’Amérique. Il a été un homme d’un courage et d’une générosité admirables puisqu’il a axé tout son travail sur la dénonciation des injustices sociales. Le film est construit comme un documentaire social et le récit de la vie militante d’un homme qui haïssait l’injustice. Evidemment, il y a beaucoup de bouleversantes photos d’Hine mais elles ne sont pas filmées comme des photographies, c’est-à-dire des images fixes et cadrées mais comme des séquences émouvantes mises en mouvement pour pathétiser le propos. Un commentaire militant et une musique mélo renforcent ce côté document socio-poignant.
Informations et réservations :
Pas de réservation excepté pour la séance des scolaires. S’adresser au Service éducatif service.educatif@museephoto.be
Prix : 2,00 €/ séance
Etudiants, seniors, demandeurs d'emploi, Amis du Musée: 1,50 €/séance
Gratuit pour les donateurs du Musée
Article 27 : 1 chèque/ séance
Les patagraphes: boite cyclope, labo à vélo, cyanotype si soleil
Rosemary Laneau, Joelle Bosmans, Sophie Carpentiers
Vogelenzangstraat 7 / Kortenberg B-3070 / Belgique
25/4/2011
Contact
Telephone: 0479 489 157
Nous sommes les patagraphes, munis de boites, de labos sur velo et cyanotypes au soleil, nous pratiquons la photographie sauvage.
Nous vous invitons à l'heure du brunch (11 h avec votre manger) à vivre la magie du sténopé, à le developper sur place et le scanner afin de rejoindre la mondiale.
Bienvenue à la "slow photographie" et son expo.
Un nouveau projet est lancé, après quelques semaines, et mois, de préparation.
Il s'inscrit dans la suite de mon projet 2008-2009 Closer.
Passé de la vision anodine (mais pas moins investie), par ordre chronologique, de ma famille, du carnaval, du peintre... vers une autre nettement plus radicale, celle de ma mère, déjà d'un autre monde sans avoir totalement quitté celui-ci... je suis la piste qui m'a été soufflée par certains de ceux qui ont vu ces photos.
Le sujet aujourd'hui est la peau tatouée...
La peau et ce qu'elle laisse imaginer de douceur, de rugosité, de chaleur ou de fraicheur...
Et le tatouage comme accident volontaire, aux côté d'autres qui le sont moins - une cicatrice, un bouton, un pli de la peau, une rougeur - ou qui le sont tout autant - un piercing, des ongles peints, une boucle d'oreille, une scarification -...
Tenter en tout cas, par la photographie, de transmettre quelque chose qui ne soit plus tellement de l'ordre de la vue que de celui du toucher.
Nous verrons où cela nous mènera.
Une première séance avec un modèle a eu lieu aujourd'hui. Attendons les résultats.
Square Magazine est un trimestriel en ligne billingue dédié à la photo au format carré. Il fut créé en Février 2010 par Christophe Dillinger avec Yves Bigot, Carine Lautier et Clara Forest.
Le nouveau numéro est en ligne depuis quelques jours.
Sylviane LEDOCQ / Art, …, Syrielle
Galerie Intimerrance / rue Vandervelde, 95 / B-6110 MONTIGNY-LE-TILLEUL
30/4/2011 - 21/5/2011
Veerle Frissen / Théâtre des Femmes Perturbéés
Kunstplatform Zebrastraat / Zebrastraat 32/001 / 9000 Gand
7/04/2011 - 1/05/2011 (samedi et dimanche de 14h à 18h).
De zelfportretten die in deze tentoonstelling worden getoond, vormen een reeks over het vrouwbeeld getiteld “Théâtre des Femmes Perturbées”. Deze reeks wil de toeschouwer tot nadenken stemmen over de vanzelfsprekendheid waarmee seksualiteit en ideale schoonheid voortdurend (on)bewust aan vrouwen worden opgedrongen en hoe zich dit vertaald binnen de moderne samenleving.
Rencontres photographiques d'Art'lon
Ancien Palais de Justice d'Arlon / Place Léopold / Arlon (6700)
23/4/2011 - 08/05/2011
Sergine Laloux, Serge Picard, Gerard Beckers, Gérard Bissot, Olivier Calicis, Hadanne Chawqui, Alain Dardenne, Mara De Sario, Philippe De Wachter, Elka, Annie Gaspart, Dominique Gaul, Martin Goblet, LaurenceGondon, Karine Grange, François Hrehorowski, Romain Lambay, Jean-Marie Martin, Francis Meyer, Daniel Pigeon , Denis Perreaux, François Pinçon, Bernard Schul, Session noire, Gennaro Taddei, Pierre Tondeur, Philippe Toussaint, Jean-François Urbain, Georges Vaessen, Alain Van Driessche, Olivier Van Rossum, André Willame
Expo IN
Du 23 avril au 8 mai 2011 à l’ancien Palais de Justice d’Arlon
Le 23 avril - Vernissage des Rencontres
Le 26 avril - Le Concert Maxence Cyrin dans le cadre du festival des Aralunaires (début du concert à 21h00)
Heures d’ouverture:
Du lundi au vendredi : tous les soirs de 17h00 à 21h00
Le mercredi : ouverture de 12h00 à 21h00
Le jeudi : ouverture également le matin de 9h00 à 13h00
Le week-end (et jour férié le lundi 25) : ouverture de 10h00 à 21h00
Expo OUT
Dans les rues d’Arlon, du 17 avril au 31 août 2011
Stages
Les 24 et 25 avril : « Avoir l’œil, de l’argentique au numérique » animé par Sergine Laloux (stage de 2 jours)
Le 30 avril : Débuts en photographie animé par Pierre Coets (stage d’1 jour)
Le 1er mai : Débuts en photographie animé par Pierre Coets (stage d’1 jour)
Les 7 et 8 mai : « Le temps d’une pose » animé par Serge Picard (stage de 2 jours)
Thomas Delvaux / Horizons fragiles
PGAV • Photo Gallery asbl/vzw / Galerie de la Reine 10 / 1000 Bruxelles
13/5/2011 - 29/5/2011
Thomas Delvaux aborde la photographie en travaillant sur les couleurs, les ambiances et un certain art du graphisme. C'est donc grâce à un patient regroupement de ses photos, clichés tantôt de paysages tantôt de moments volés, qu'il nous emmène vers ses Horizons fragiles, tout empreints de nostalgie.
AFTER IMAGES
Musée Juif de Belgique / rue des Minimes 21 / 1000 Bruxelles
29/4/2011 - 28/8/2011
"L’impression qui reste après la première vision d’une image ou d’une série d’images dépend de la rémanence de cette vision — capacité sensorielle de chacun à conserver la trace aperceptive de cette rencontre.
Cette exposition collective, consacrée à l’art américain récent, se concentre sur la façon dont les artistes réagissent à la pléthore d’images et d’informations dans la culture actuelle à travers tous les supports artistiques et les espaces ou hiatus qui les séparent : peinture, sculpture, photographie, film et vidéo. L’image est à la fois convoquée et révoquée dans plusieurs œuvres de cette l’exposition : des matériaux tout faits et des images trouvées sont utilisés d’une façon qui contourne l’héritage de l’Appropriation Art caractéristique d’une bonne partie de la création américaine. Contexte, source et échange sont naturellement impliqués, mais, dans la mesure où la nature associative de la séquence iconographique passe de plus en plus au premier plan. Cette exposition pluridisciplinaire réunit peinture, sculpture, film/vidéo et photographie, à travers une sélection de pièces issues des plus prestigieuses collections d’art contemporain en Belgique.
Artistes invités : Uri Aran, John Baldessari, Walead Beshty, Carol Bove, Kerstin Brätsch, Tom Burr, Paul Chan, Liz Deschenes, Trisha Donnelly, Roe Ethridge, Nikolas Gambaroff, Wade Guyton, Rachel Harrison, Alex Hubbard, William E. Jones, Louise Lawler, Sherrie Levine, Sharon Lockhart, John Miller, Marlo Pascual, Jenny Perlin, William Pope. L, Seth Price, Gedi Sibony, Lorna Simpson, Josh Smith, Catherine Sullivan, Ryan Trecartin & Lizzie Fitch, Oscar Tuazon, Kelley Walker, Christopher Williams et Christopher Wool
"
Festival International de la Photo de Knokke-Heist
10/4/2011 - 13/6/2011
Sites:
- Centre culturel Scharpoord, Meerlaan 32, 8300 Knokke-Heist
- Pavillon d’exposition, plage à hauteur de Rubensplein
- Lagunahal, Krommedijk, Duinbergen
- Sincfala, Musée de la région du Zwin, Pannestraat 140, Heist
Le Festival International de la Photo de Knokke-Heist en est cette année à sa 33e édition et propose une nouvelle fois un panorama étonnamment riche et varié de la photographie internationale.
La diversité est un moteur important de ce festival. Chaque année, de grands noms de la photographie internationale et belge sont au programme, associés à des expositions de jeunes révélations.
Le Festival a lieu à plusieurs endroits dans la commune de Knokke-Heist. Les principaux sites sont un pavillon d’exposition construit sur la plage, à hauteur de Rubensplein, ainsi que le Centre culturel de Knokke-Heist.
Les diverses expositions du Festival sont aisément accessibles. Un plan de la ville en main, chaque visiteur peut parcourir confortablement toute l’exposition, tout en faisant une exquise balade à travers la commune côtière. Grâce au Festival de la Photo 2011, Knokke-Heist devient l’endroit par excellence où l’amour de l’art raffiné coïncide avec le plaisir de tout ce que Knokke-Heist a à offrir : promenades dans la nature, plage, gastronomie, shopping, plaisir pur…
Le thème de 2011 est Future Portraits. Le festival zoome sur le portrait théâtral et la manière dont les médias actuels sont mis en œuvre pour insuffler une nouvelle vie à ce genre.
Moholy Nagy - The art of light
Gemeentemuseum Den Haag / Stadhouderslaan 41 / 2517 HV Den Haag
29/1/2011 - 1/5/2011
"Light as art and art as light. Throughout his life, László Moholy-Nagy (1895-1946) played with light in all his work: his paintings, sculptures, collages, photographs, films, graphic designs, book covers and theatre sets. Light is to Moholy-Nagy what a pencil is to a draughtsman."
Premier choc dans cette exposition avec la projection de "Lichtspiel, Schwarz, Weiss, Grau" de 1930. Un petit film sonore qui met en scène un de ses "modulateurs d’espace lumière" et nous fait comme rencontrer le photographe dans son temps et ses obsessions.
La suite est beaucoup plus sage et didactique, mais apporte aussi son lot de surprises.
Ainsi, dans la première salle, alors qu'on a l'impression de voir ou revoir du Kertesz ou un de ses contemporains, survient l'un ou l'autre écart, l'une ou l'autre image que l'on pourrait dire (ou croire) ratée... parce qu'elles manquent de la rigueur des autres... Elles sont pourtant le signe manifeste du basculement du regard de l'auteur, l'indication de ce qu'il a vu quelque chose que les autres (et nous aussi) l'ont pas vu. Les premiers éléments d'une oeuvre à venir.
Rien ne sert de détailler l'étendue de l'oeuvre de Moholy Nagy, juste deux étonnements.
1) Ses photomontages, que j'avais toujours visualisé comme des sortes de collages ou un assemblage visible d'éléments, sont bien des photos. Rien que des clichés comme les autres, cachant sous une surface lisse les secrets de leur fabrication.
2) Moholy Nagy a été un des pionniers de la couleur. Dès 1933, et jusqu'à la fin de sa vie, la photographie couleur a été centrale. Mais faut-il s'en étonner, alors que dans ses écrits, des 1920, on le sentait impatient de repousser les murs d'une photographie bien trop timide et contrainte à l'imitation des autres arts graphiques. On n'ose imaginer la libération qu'aurait été pour lui l'avènement de l'image numérique, ni les directions inattendues qu'il aurait pu lui insuffler.
Une exposition qui rend, enfin, un hommage cohérent et complet à cet auteur.
Courrez-y ... elle se termine à la fin du mois.
Julian Schnabel / Polaroids
Fotomuseum Den Haag / Stadhouderslaan 43 / 2517 HV Den Haag
15/1/2011 - 17/4/2011
Il est grand temps de vous déplacer à La Haye (Pays Bas) pour y voir deux expositions, celle-ci, qui se termine dans une semaine, et celle de Moholy Nagy, qui se termine à la fin du mois au Gemeente Museum (les deux musées sont voisins).
Les énormes polaroids (20x24 pouces) de Julian Schnabel sont impressionnants. Mais ici, rien à voir avec ce que l'on ressentait devant les jumeaux de Mary Ellen Mark, dont l'essentiel de la présence tenait dans la profondeur et la finesse du matériau photographique.
Que du contraire, les clichés sont abimés, imparfaits, voilés. Tournent vers le bleu ou le sépia. Les clichés couleurs eux aussi ont viré. Non, ce qui impressionne ici c'est la valeur brute du témoignage sur un regard, sur le geste d'un peintre devenu photographe. Habitué de ce fait de la confrontation avec la surface et la matière.
Il en résulte aussi un étrange sentiment d'intimité, l'impression de voir des choses qui ne devraient pas être montrées, mais dont on sait qu'elles ont été vue.
On ne reste pas nécessairement longtemps dans cette exposition... mais l'impression qu'on en retire est forte !
ArtGentik / New Blood / Lara Gasparotto, Léa Habourdin, Anne Michaux
AK* artgentik / Maison AK*, 14 rue Tony Dutreux, 1429 Luxembourg
5/3/2011 - 30/4/2011
Ouverture tous les 1er jeudis du mois de 17 à 22h, samedi de 14 à 18h, sur rendez-vous
Infos: contact@artgentik.lu
Catherine Lambermont / Dormir Dessu
Maison de la Culture de Namur / Avenue Golenvaux, 14 / 5000 Namur
19/3/2011 - 1/5/2011
Quelques séries très différentes d'où émerge une véritable poésie de la douceur.
Des noirs et blancs ou domine le flou et l'humain. Et des photos couleur pour lesquelles on n'a aucune peine à comprendre pourquoi elle a choisi ici d'exposer avec Elodie Ledure, tant leurs univers sont proches.
Elodie Ledure / Dormir Dessus
Maison de la Culture de Namur / Avenue Golenvaux, 14 / 5000 Namur
19/3/2011 - 1/5/2011
J'ai déjà mentionné tout le bien que je pense du travail d'Elodie Ledure ici.
Confirmation s'il le fallait avec son expo de la maison de la culture de Namur.
Plus encore qu'à Louvain la Neuve, plaisir quand la photographe arrive à nous faire balancer d'état en état de conscience avec des images dont le sens (ou la tentative d'en trouver un) et le non sens (ou la non structure) alternent comme les vagues sur une plage.
Même la pénombre arrive à nous éblouir, comme avec ce vol d'oiseaux qu'on ne s'étonnerait pas soudain de voir bouger.
Larry Fink / Beautiful people
Box Galerie / 88 rue du Mail / 1050 Bruxelles
8/1/2011 - 28/5/2011
Rencontres avec Larry Fink: le jeudi 26 mai 2011, de 18 à 21h et le samedi 28 mai 2011 de 14 à 18h
5e biennale de photographie en Condroz
6/8/2011 - 28/8/2011
Infos : centre culturel de Marchin, 085/41.35.38 et centre culturel d’Havelange, 083/63.39.35
Aux glaneurs d’émotion, aux amoureux du patrimoine, aux amateurs de photographie, notre biennale propose la découverte de travaux d’artistes photographes professionnels belges et étrangers dans des lieux magnifiques du Condroz.
Les nouveautés de cette 5e édition :
• Le parcours reliera Marchin à Havelange. Trois villages accueilleront nos expositions : Grand-Marchin, Les Avins et Havelange.
• Il sera possible de rejoindre les lieux d’exposition à vélo, en empruntant le Ravel entre Roiseux et Havelange.
