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Duane Michals / 50
30 mai au 20 septembre 2009
Au musée de la photographie de Charleroi
www.museephoto.be/
Portes ouvertes et exposition de travaux d'élèves.
Du 18 au 21 juin 2009 de 14h à 18h
Dans les nouveaux locaux: 18 rue du chemin de fer / Wavre
Inscriptions pour l'année scolaire 2009-2010 durant les portes ouvertes, fin août et en septembre
Tel 010/22.53.31 et 0492/63.56.91
Vincent Delbrouck / Beyond History / Havana 1998-2006
30 mai au 20 septembre 2009
Au musée de la photographie de Charleroi
www.museephoto.be/
Rétrospective Michel Comte
du 29 mai au 1er août 2009 / Young Gallery / Avenue Louise 75B / 1050 Bruxelles
Né à Zurich en 1953, ce photographe est l’égal des plus grands, des Peter Lindbergh et des Mario Testino. Il débute dans le domaine de la mode à 28 ans ; à New York et à Los Angeles, pour «Vogue» et «Vanity fair», il réalise les campagnes des marques les plus prestigieuses, Armani, Dolce et Gabbana, Lancôme, Revlon, etc.
A ses recherches personnelles nous devons de superbes portraits d’acteurs, d’artistes, des plus belles femmes «in the world».
Chantal Vey (1970) vit et travaille à Toulouse et Bruxelles
La démarche artistique de Chantal V. est d'aller vers l'autre, l'inconnu, le résident de telle ou telle ville, et lui demander l'accès à son domicile pour réaliser un portrait photographique. Ici, le rapport de proximité avec l'autre, l'étranger, est pour elle une façon d'observer autrement, d'interroger
«l'étrangeté ordinaire».
Chaque fragment «découpé» compose alors des séries d'indices, où un geste est associé à un objet, une attitude à une histoire, une fragilité à un mouvement de doigt, un langage non verbal à une lecture poétique. La narration se construit par découpage et collage avec le désir de tisser une histoire, la sienne, la vôtre...
B-Gallery / 55 Rue de la Madeleine /1000 Bruxelles
Du 29.05.2009 au 20.06.2009 de 13.00 à 18.00
Sise dans la superbe Galerie Bortier, œuvre de l'architecte Cluysenaar, la B-Gallery accueille dix expositions par an de jeunes artistes plasticiens sélectionnés suite à un appel à projets annuel.
Généralement plus connue pour les bouquinistes qui l'occupent, la B-Gallery est la plate-forme artistique contemporaine de la Ville de Bruxelles. Dédié à la jeune création contemporaine, cet espace d’exposition de 92 m² a pour objectif d'organiser une exposition personnelle d'une durée de 3 semaines, avec le soutien de la Ville de Bruxelles sur le plan logistique. En plus d’offrir un canal de diffusion institutionnel, la Ville de Bruxelles prend en charge : la production des invitations, le vernissage, la promotion de l’exposition, le gardiennage, un soutien aux frais de production liés à l’exposition, une publication annuelle reprenant tous les artistes de la sélection, un reportage photographique professionnel.
La sélection des artistes se fait sur la base d’un appel à projets lancé en septembre de chaque année. Ce dernier est diffusé dans les écoles d'art, les revues spécialisées et sur les sites de la Ville de Bruxelles. Il s'adresse aux jeunes artistes-plasticiens résidant en Belgique et ayant moins de 10 ans de carrière. Les candidats sont amenés à fournir un dossier reprenant leur projet conçu pour la B-Gallery en tenant compte de ses spécificités. Un jury de professionnels (historiens de l’art, journalistes, professeurs d’écoles d’art,…) juge ensuite de l'adéquation des projets avec le lieu d'exposition.
Expo: There is No(w) Romanticism
Galerie Les Filles du Calvaire Bruxelles / Boulevard Barthélémy 20 / 1000 Brussel
du 29-05-2009 au 11-07-2009 / vernissage le 28-05-2009 18h- 21h
Oeuvres diverses (Sculpture, Installation, Peinture, Vidéo, Performance, Photographie) de Bas Jan Ader, Jean Baptiste Bernadet, Iñaki Bonillas, Patricia Dauder, Edith Dekyndt, Cyprien Gaillard, Amy Granat & Drew Heitzler, Barnaby Hosking, Marine Hugonnier, Sophie Nys & Philippe Van Snick, Paul Pouvreau, Stefan Tcherepnin, Lisa Tan, Pieter Vermeersch.
Performance de Danai Anesiadou le jour du vernissage à 20h
Le Romantisme est-il mort? On constate dans l’art contemporain et conceptuel la persistance d’une certaine forme de Romantisme. Cette persistance ne viendrait elle pas justement du fondement intrinsèque de l’être, dont la dualité entre raison et émotion serait génératrice de mélancolie ? La négation et le reniement de cette inclination naturelle au romantisme, n’auraient ils pas réactualisé son sens et son existence ?
Historiquement le Romantisme s’est affirmé comme une critique rhétorique d’une idéologie basée sur la logique et les contraintes matérielles au XIXème siècle, époque de l’industrialisation et de la naissance de la société de masse. Il s’agissait de laisser libre cours au pouvoir spontané de l’émotion contre le rationalisme dominant de la période des Lumières à laquelle le mouvement politique et littéraire allemand de la deuxième moitié du XVIIIème siècle «Sturm und Drang» (tempête et passion)- précurseur du Romantisme - s’était déjà opposé.
On retrouve dans la définition du Romantisme qu’a proposé Baudelaire dans son ouvrage critique Le Salon de 1846, les grands principes: émotions, individualisme, intériorité, infini, fusion avec la nature devenant le reflet de l’âme…
Bien plus tard, l’art minimal et conceptuel ont réagi contre les discours mystiques et soi-disant prétentieux des expressionnistes abstraits prônant un certain lyrisme et la force émotionnelle de la spontanéité du geste pour n’en citer que quelques aspects. Est née alors, l’idée que l’art devait être totalement pur et détaché de tout affect. En 1967, Sol LeWitt écrivait: “It is the objective of the artist who is concerned with Conceptual art to make his work mentally interesting to the Spectator, and therfore usually he would want it to become emotionally dry..() The expectation of an emotional kick, to which one conditioned to Expressionist art is accustomed (…) would deter the viewer from perceiving this art»
Mais comme le souligne Jorg Heiser, pourquoi le spectateur ne pourrait-il pas penser d’une oeuvre qu’elle est mentalement intéressante et qu’il puisse être émotionnellement touchée par elle ? D’ailleurs, deux ans plus tard en 1969, LeWitt publiait un nouveau pamphlet où il écrit : «Conceptual artists are mystics rather that rationalists» «they leap to conclusion than logic cannot reach». Le propos de cette exposition s’est développé en s’appuyant autour de l’oeuvre de Bas Jan Ader (1942-1975) aujourd’hui reconnu comme une figure clé de ces deux tendances a priori antinomiques: Romantique et Conceptuelle.
Expo de Sophie Calle du Mercredi 27.05 au Dimanche 13.09.2009 au Palais des Beaux-Arts.
Une expo à ne pas manquer pour les photographes intéressés par l'art contemporain.
On a pu voir Prenez soin de vous à la Bibliothèque nationale de France et à la Biennale de Venise, et auparavant M’as-tu vue à Beaubourg - des expositions accompagnées au fil des ans de nombreuses publications. Sophie Calle se met en scène dans ses productions artistiques, qu’elles soient littéraires, cinématographiques ou plastiques. Pour sa première exposition au Palais des Beaux-Arts, l’artiste française présente un ensemble d’œuvres et plus particulièrement celles où elle apparaît, à travers de vrais rituels autobiographiques. Une voix accompagne le visiteur et raconte cette vie qui se fait histoire.
Notez-le déjà dans vos agendas... et rendez-vous en septembre!
Evidemment, pour en voir plus, il vous faudra vous déplacer!
Expo: "Stitches and Images" / ELKE BOON
Du 22/5 au 21/6, Stieglitz19 / Anvers
Avec ‘Stitches and images’ Elke Boon montre une sélection de nouvelles photos, mais aussi des dessins, broderies et la video ‘Playing Dead’.
Un coup d'oeil dans le rétroviseur jusqu'en 2008
Stieglitz19 est une nouvelle galerie basée à Anvers qui se spécialise dans la photographie artistique du 21ème siècle.
Les photographes qui seront présentés seront des photographes chinois ansi que de jeunes photographes européens et américains.
La galerie sera une scène où les artistes pourront présenter leur travail en solo ou dans des expositions de groupe.
La galerie est ouverte pendant les expositons le vendredi de 16 à 18h, les samedi et dimanche de 14 à 18h.
L'espace est aussi diponible pour des conférences sur la photographie ou d'autres arts visuels.
Stieglitz19 / Arthur Goemaerelei 19 / 2018 Antwerpen
Un coup d'oeil dans le rétroviseur jusqu'en 2007
Bizarre, bizarre
dans l’esprit du surréalisme
13|05 > 4|07|2009
Un couple, lui-même éminemment «magrittien», contemple un tableau du «maître de Lessines», prêt à se laisser engloutir par une fenêtre ouvrant sur le vide… Au milieu d’un pré, six personnages scrutent le ciel à travers d’étranges lunettes… Des chiens forment un cercle, un autre fait la sieste sur le dos d’une vache, un autre encore défèque une montagne de neige… Une belle endormie, (im)pudiquement perdue dans ses songes… Une ombre menaçante plane sur une plage déserte… Trois paires de jambes dans une vitrine ; ailleurs, une robe semble attendre celle qui voudra bien la libérer de sa solitude… Coincé entre des armures médiévales, un homme vitupère sur un écran de télévision… Endimanché, un monsieur d’un autre âge pose en compagnie de son pigeon favori… Des poupées pendent au plafond d’une boutique oubliée… Des constellations de galaxies lointaines nous invitent à la perte de tous nos repères… Pour qui le veut bien, des paysages se muent en corps de femmes… Une Mona Lisa dépoitraillée s’exhibe dans un recoin sombre… Une statue pleure et saigne la glace qui l’emprisonne… Quelques hommages licencieux sont rendus au trublions d’antan: Molinier, Bellmer, Nougé… Bizarre, bizarre…
Pour saluer à notre manière l’ouverture prochaine du Musée Magritte à Bruxelles, nous avons choisi d’accrocher une quarantaine de photographies réalisées par les artistes de la galerie et qui, toutes, s’inscrivent peu ou prou dans l’esprit du surréalisme.
Il ne s’agit donc pas d’images répondant aux critères tels que définis par les théoriciens du mouvement (ou autres gardiens du temple), mais de photographies qui montrent des situations incongrues telles qu’un regard attentif peut les saisir au quotidien.
Humour décalé, apparences trompeuses, scènes improbables et transfiguration du banal se sont donné rendez-vous pour cette ultime exposition de la saison.
La rencontre, fortuite ou non, d’un chien empaillé et d’une jeune femme en sous-vêtements, le pantalon aux chevilles, n’est pas moins belle ni moins intrigante que celle, chère au Comte de Lautrémont, d’un parapluie et d’une machine à coudre sur une table à dissection!
88 RUE DU MAIL – 1050 BRUXELLES – 02 538 95 55 – WWW.BOXGALERIE.BE
Un coup d'oeil dans le rétroviseur jusqu'en 2005
Expo: Alain Janssens / Les sentiers du chantier / Du 28 avril au 06 juin 2009 / Cinéma Sauvenière
Expo: Alessandra Sanguinetti / The Adventures of Guille and Belinda and the Enigmatic Meaning of their Dreams
28 mars – 30 mai 2009 / Vernissage: samedi, 28 mars, 17-20 heures
Natascha Mehlhop Gallery
Rue du Houblon / Hopstraat 40
B-1000 Brussels
Natascha Mehlhop Gallery a le plaisir d’annoncer "The Adventures of Guille and Belinda and the Enigmatic Meaning of their Dreams" (Les aventures de Guille et Belinda et le sens énigmatique de leurs rêves), la première exposition photo en solo en Europe de la lauréate artiste américaine Alessandra Sanguinetti.
Il s’agit d’une série de photographies sur la vie de deux cousines, Guillermina et Belinda. C’est en 1998 que l’artiste commence à collaborer avec les deux cousines et suit de près leur évolution dans la ferme familiale, aux portes de Buenos Aires. Alessandra Sanguinetti parvient à prendre sur le vif des photos exprimant à la perfection les émotions, les fantaisies et les peurs propres au passage, tant psychique que physiologique, de l’enfance à la vie d’adulte. Les deux cousines si opposées physiquement - Guille étant corpulente et Belinda androgyne - sont au coeur de scènes qui paraissent inspirées par les femmes photographes pionnières de l’âge Victorien telles que Julia Margret Cameron. Celle-ci a également souvent utilisé des ambiances domestiques pour caractériser des personnages de la poésie ou de la littérature. Ophelias (2002) caractérise à merveille le talent de Alessandra Sanguinetti qui parvient à donner à son oeuvre une grande spontanéité en utilisant simplement les astuces et l’environnement à sa disposition. Les deux filles, flottant dans l’eau avec leur reflet respectif, deviennent des Ophélies duales. Guille est habillée avec son propre couvre-lit qui dramatiquement allonge son corps et flotte dans l’eau, des fleurs ornent les cheveux des deux filles. Alessandra Sanguinetti travaille souvent entre la réalité et la fiction et parvient à surprendre les filles quand elles jouent un répertoire de rôles mais aussi dans des moments de pure distraction, comme dans The Dreamer (2002), où Belinda, pensive, est allongée dans la nature. Grâce à la photographe, les filles sont d’un naturel désarmant, même lorsqu’elles jouent un rôle, et on ne remarque guère la présence de Alessandra Sanguinetti qui permet au spectateur de se projeter à sa place.
Cette exposition couvre une période de collaboration qui perdure jusqu'à aujourd’hui, montrant les deux filles depuis leur enfance jusqu’au moment où elles entrent dans le monde adulte qu’elles ont jadis imaginé. Les oeuvres de Alessandra Sanguinetti sont d'une riche diversité, tantôt reflétant des rêves et l'imagination, tantôt montrant des moments plus méditatifs, dans lesquels les cousines composent leur propre réalité, se confrontent à la fragilité des relations alternantes et à une maternité précoce.
Alessandra Sanguinetti est née à New York City en 1968. Elle travaille à New York et Buenos Aires. Elle est devenue membre de Magnum Photos, nominée en 2007. Son travail a été fréquemment exposé à l’étranger dont une exposition solo au Museum of Modern Art, Buenos Aires, et fait partie de collections permanentes telles que celle du MoMA à New York, le Museum of Fine Arts à Boston, les Fonds national d’art contemporain en France et le IcP, International Center of Photography, à New York. Elle a obtenu de nombreux prix et bourses dont le Guggenheim Foundation Fellowship, le Hasselblad Foundation Grant et le Rencontre d’Arles Discovery Award.
Isabelle Hayeur, Formes de monuments (2008- 2009) / A la galerie Contretype 13/05/2009 » 21/06/2009
Corpus photographique réalisé dans le cadre d'une résidence d'artiste
L'Espace photographique Contretype (Bruxelles) en collaboration avec VOX image contemporaine (Montréal)
Depuis la fin des années 90, je sonde les territoires que je rencontre pour comprendre comment nos sociétés actuelles investissent et façonnent leurs environnements. Je suis particulièrement intéressée par la question environnementale et par le devenir des lieux et des cultures à l'ère de la mondialisation. Entre les paysages et nous-mêmes existe une relation de réciprocité qui dévoile nos modes d'existence. Leur étude comme leur mise en espace mettent à jour nos visions du monde et notre être ensemble.
La rapidité avec laquelle les changements de tous ordres sont survenus au cours de ce siècle se manifeste de façon évidente dans les espaces que nous habitons. Nos milieux naturels, ruraux et urbains ont connu des transformations majeures, plus particulièrement depuis trente ou quarante ans. L'univers hautement médiatisé dans lequel nous vivons aujourd'hui installe davantage d'espaces abstraits et d'environnements fabriqués. Nos perceptions sont investies par les moyens d'une culture technique qui reconduit celles-ci vers un monde plus orchestré et plus uniforme.
Nous avons le privilège de construire et de façonner le monde. Ce n'est évidemment pas un phénomène nouveau mais nous disposons de moyens sans précédents pour le faire. Nous donnons forme à des univers autrefois impossibles et impensables. Nous agissons sur ce qui nous entoure et intervenons sur le cours des choses comme jamais auparavant. Manipuler ou jouer avec les données du monde n'a plus rien d'irréel puisque notre univers devient de plus en plus malléable. Nos visions et nos modes de vie ont de toute évidence plus de conséquences sur les espaces que nous occupons. La responsabilité de nos aménagements et de nos imaginaires prend alors une importance particulière. Ces questions traversent ma recherche des dernières années.
Par le biais des techniques de transformation de l'image, je manipule mes prises de vues. À l'instar du cinéaste Robert Bresson qui considérait que " Le réel brut ne donnera pas a lui seul du vrai " j'appréhende le monde en le recomposant pour en rapporter des images qui le saisiront dans toute sa complexité. La mise en relation de lieux, d'événements et de temporalités aux provenances diverses crée des rapprochements (géographiques et sémantiques.) Elle permet aussi de condenser les territoires pour rendre visible des étendues beaucoup trop vastes pour être contenues sous l'objectif. C'est une façon de faire entrer le hors champ à l'intérieur de l'image. En ajoutant des dimensions et des références supplémentaires aux réalités documentées, la construction peut ainsi révéler des aspects du monde que la captation seule n'arrive pas toujours à montrer.
Transphotographiques 2009 du 13 mai au 12 juillet 2009 à Lille.
Bizarre, bizarre / Dans l'esprit du surréalisme
Photographies de Nathalie Amand, Marina Cox, Ricky Davila, Margaret M. de Lange, Hugues de Wurstemberger, Bernard Descamps, Pia Elizondo, Debbie Fleming Caffery, Alberto Garcia-Alix, Norbert Ghisoland, Harry Gruyaert, Bogdan Konopka, Isabel Munoz, Pentti Sammallahti, Christer Stromholm, Carla van de Puttelaar et Michel Vanden Eeckhoudt
Exposition du 13 mai au 4 juillet 2009
du mercredi au samedi de 14 à 18 heures
Box Galerie / 88 rue de Mail / 1050 Bruxelles
Expo: BXL / BCN par Olivier Brouwers
A la Young Gallery du 13 au 19 mai seulement!
Né à Bruxelles et diplômé en photographie à l’école supérieure d’Arts Plastiques, «Le 75», Olivier Brouwers travaille à la cinémathèque Royale de Belgique, puis décide de rendre hommage à sa ville natale à travers un projet de cartes postales poético-surréalistes intitulé Zwanze !
Il édite dans la foulée 2 livres à succès de ses oeuvres sur Bruxelles : «Zwanze, dürüms et caricoles» et «BXL 360», respectivement en 2003 et 2005.
De ce travail sur Bruxelles naît en 2007 une exposition à la galerie B19 en collaboration avec Tourne Sol Production. Exposition qui remporte un très vif succès. Olivier Brouwers rencontre en Espagne l’amour, qui lui fait découvrir Barcelone et ses trésors. Très inspiré par l’esprit catalan, il fait de Barcelone sa ville d’adoption, et décide d’y consacrer une collection de cartes postales urbaines décalées : «BCZona!».
Très logiquement lui vient l’envie de consacrer une exposition à ces 2 villes en parallèle, projet qu’il met sur pied ce mois de mai 2009 en collaboration avec Tourne Sol Production, à la très réputée Young Gallery!
Exposition Silences photographies de Christophe Collas
Du 8 mai au 20 juin 2009
Au Placard à balais / Rue des Mineurs, 9/11 / 4000 Liège
Ouvert de 10h à 16h les jours ouvrables
Vernissage vendredi 8 mai dès 18h
C'est assez rare pour le mentionner... je refais un peu de 24x36. Pas vraiment par goût. Tous juste par facilité.
Le week-end dernier, prise en main de l'appareil de mon frangin (Canon EOS1N, 28-84mm et flash) à l'occasion de l'anniversaire d'une copine. Deux rouleaux de 24 photos.
Et puis hier, reportage photo sur un baptème des enfants de copains burundais. De 13h30 à 19h30, au moins, avec au bout du bras un appareil lourd comme un cheval mort.
Photo argentique évidemment. Dans dix ans ou dans quinze, quand ces gosses, devenus grands, voudront revoir les photos de leur fête, que resterait-il des fichiers numériques depuis longtemps oublié. On peut espérer tout de même que les négatifs, eux, auront été conservés en lieu sûr. Cinq rouleaux de 36 vues. Sans oublier une douzaine en 6x6... pour qu'ils aient en plus des souvenirs vraiment convenables!
Résultats pour les deux séries ans le courant de la semaine.
Expo: Roland Lebrun / Bruit Blanc du 08.05.09 au 24.05.09, vernissage le 07.05.09 dès 18:00
A la Photo Gallery asbl / Galerie de la Reine 10 / 1000 Bruxelles / Belgique
Du lundi au vendredi de 11h00 à 18h00 / samedi et dimanche de 11h00 à 18h00
Roland Lebrun est diplômé de l’Ecole du 75 en 2008, félicité pour la série qu’il expose à son jury de fin d’année, La mort de Paule.
Aujourd’hui, pour sa première exposition personnelle, le jeune photographe présente Bruit Blanc. Emprunte de douceur et de sérénité, cette série se découvre comme une sorte de carnet de notes, comme des bribes de manuscrits. Chaque image est le début d’une histoire. Ou la fin. On peut les isoler les unes des autres, les assembler toutes ou en partie, les mélanger et recommencer pour composer une autre histoire.
‘Ces images sont tirées de ce qu’on appellerait un journal intime. Pourtant, à chaque photo, je sors du moment que je vis. Je me retourne et je le cadre. J’exclus, j’inclus. Le cadre devient la réalité, ce qui n’est pas dedans cessera d’exister. L’image ne me renvoie plus au moment, elle devient une phrase. Elle me permet de recréer une histoire. C’est mon journal public.’ (Roland Lebrun)
Expo: JUNGLES de JEAN REVILLARD
VERNISSAGE le 08/05/2009 / Expo DU 09/05/2009 AU 13/06/2009
GALERIE JACQUES CERAMI / 346, ROUTE DE PHILIPPEVILLE / 6010 COUILLET (CHARLEROI)
Cabanes de migrants, habitat des rêves
Le photographe suisse Jean Revillard est allé à la rencontre des migrants de Calais en route pour l’Eldorado anglais. Son photo-reportage a été récompensé de deux prix prestigieux, un Swiss Press et un World Press Photo, catégorie enjeux contemporains.
Elles sont là, faites de bric et de broc, entre des fourrés d’épineux très denses et des tas de détritus laissés par les migrants. Vieilles couvertures et bâches de plastique sont jetées sur des barrières de sécurité ou des palettes de bois pour servir d’abris d’infortune à ceux venus d’Afghanistan, du Kurdistan, du Pakistan ou d’Iran et qui rêvent de "passer" en Angleterre, nouvel Eldorado. Nouvelle vie. Entre l’espoir et la réalité, ils tentent chaque soir leur change dans les ports du nord de la France pour traverser la Manche, accrochés clandestinement aux camions scannés aux rayons X et au détecteur de CO2.
Et c’est bien cette recherche d’idéal de liberté que le photographe Jean Revillard a révélée en dépassant le cliché. Son travail nous met alors en porte-à-faux entre nos propres rêves de robinsonnades et les misérables conditions de vie des migrants. Car les "Les cabanes de Calais" sont belles alors qu’on devrait y voir que du moche. Moche, en France, le migrant qui survit dans la forêt, la "jungle" comme il dit. Moche, la police qui détruit tout au petit matin. Moches les rafles au repas du soir. Moche ce gamin qu’on empêche, non pas de rentrer en France, mais d’en sortir.
Et pourtant, ces centaines de jeunes, car ils ont souvent 15 ans, croient en leur aventure et en leur futur. Ils sont partis de chez eux il y a 9 mois, et le Chanel est leur dernière étape. Beau, leur sourire quand ils parlent de l’Angleterre. Beau, leur accueil quand ils disent, entre le froid et la peur, "Welcome to my home".
Parcours d'Artistes / "Dez'équilibre" / Chemins de Toile
Du 2 mai au 10 mai, à Gembloux
Pour la cinquième édition du Parcours, les plasticiens se mettent en "Dés-équilibre" dans des lieux prestigieux de Gembloux mais aussi chez eux! Un monde de couleurs et de matières à découvrir, à travers les diverses disciplines des arts plastiques: peinture, sculpture, photographie, dessin,...
Programme:
2/05 à 11h Inauguration au Centre Culturel Cinéma Royal
Les 4 jours de 13h à 19h Ouverture de tous les espaces d'exposition
10/05 à 20h30 Soirée de clôture et remise des prix
Un badge vendu à chaque étape du Parcours vous donne un libre accès à tous les espaces d'exposition pendant les deux week-ends.
Un plan vous sera offert. Il se révèle être l'outil indispensable de votre visite! Il vous fournit toutes les informations utiles sur les artistes participants, les espaces d'exposition, les horaires, ...
Le Centre Culturel Cinéma Royal héberge une exposition "table des matières grandeur nature" comprenant une oeuvre de chaque artiste participant. Un point de départ où vous trouvez tous les renseignements utiles pour faire de votre visite un moment culturel et fait de rencontres passionnantes.
Des artistes scénographes proposent une mise en espace et un accrochage inédit des oeuvres!
Vous avez ainsi l'occasion de (re)découvrir les espaces d'exposition de la Faculté universitaire des Sciences agronomiques et du futur musée de la coutellerie. Les techniques et les sensibilités s'y marient pour votre plaisir!
En nouveauté, les artistes et les jeunes de l'entité gembloutoise vous convient à une aventure plastique sur le RAVEL. Des "cadres" créés pour l'occasion sont le fil conducteur d'une balade à découvrir, à partager entre amis, en duo, en famille, et pourquoi pas en solo et à vélo!
L'artiste invité pour parrainer l'édition 2009 est le sculpteur bruxellois Bob Van der Auwera.
Créateur avec deux amis artistes des Ateliers de la Rue Voot à Woluwe, il y a également participé à la fondation de la Galerie de Prêt d'oeuvres d'art (GPOA).
Il enseigne la sculpture monumentale à l'Académie des Arts de Bruxelles et est à l'origine de l'exposition "Le Cube au Carré".
Son oeuvre est centrée sur la notion d'espace, il travaille principalement l'acier oxydé pour construire des structures agencées selon le carré, le cube et leurs déclinaisons.
Il a en outre développé un processus d'impression de "monotypes en coton oxydé" où l'acier inscrit sa trace oxydée dans les fibres du tissu.
Familier de notre région, il a exposé au Musée de Louvain-la-Neuve ('92 et '97), lors de la Première Biennale de Sculpture de Gembloux ('98), de Vagabond'Art à Chaumont Gistoux ('01), du parcours d'artistes de Blanmont ('05) et, de Louvain-la-Neuve ('08). Par ailleurs des monotypes géants scandaient la scénographie du Canto General dans le Parc à Mitrailles de Court-Saint-Etienne ('98).