Vu: Jouko Lehtola, Thomas Chable et les autres
Et puis trop de bémols pour des auteurs qui n'ont pas réussi à percer ma carapace de vieux, insensible peut-être à une adolescence trop éloignée déjà.
L'esthétique de Jouko Lehtola m'a fortement fait penser à celle de Martin Parr; mais aucune de ses images n'a réussi à capter mon attention.
Frank Rothe (de la série Running through the wind), Michelle Sank, Clara Gutsche, Thomas Chable et Chantal Vey... dont je n'ai absolument rien à dire.
Kyna Gourley enfin, qui arrive peut-être un peu trop tard dans le parcours pour être apprécié à sa juste valeur. La présentation (les photos posées à plat sur le mur de cloture de l'église) est elle aussi sujette à discussion. Posées à même le sol, elles aurait peut-être forcé le spectateur à un autre regard. La biennale précédente n'avait pourtant pas été avare d'accrochages originaux (que ce soient des pupitres dans un bois ou des photos posées sur l'eau d'un bassin).
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