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Expo: Elodie Barattucci / Saynètes et Historiettes
Expo gratuite à la Maison du Hainaut – Quai de Brabant 20 – 6000 Charleroi
Du 29/06 au 10/07/09
Du lundi au vendredi de 09h à 16h30 (16h le vend. – fermeture de 12h à 13h), nocturne le jeudi jusqu’à 19h00.
Avec un Master en communication visuelle en poche (Ecole Supérieure des Arts plastiques et Visuels de Mons), elle a déjà un C.V. artistique bien fourni, alors qu’elle vient à peine de fêter ses 25 ans il y a quelques mois.
Expos individuelles et collectives, publications et illustrations, vidéos d’art contemporain, concours remportés et surtout, une soif d’exploration extrême et une folle envie de marier la communication visuelle à l’Art, et inversement ! Ses leitmotivs: «Toucher à tout, s’attaquer à la photographie, au design, à la sculpture, au stylisme...Qu’importe le medium».
Elodie Barattucci ne s’arrête pas là en effet, elle n’a pas peur, elle ne craint rien, du moment qu’elle atteint son objectif: «Faire passer un message, une idée. Pousser à la réflexion, éclairer. Du moins essayer. Toujours vouloir plus. Jouer, tout le temps. Surtout ne pas s’arrêter».
Et étrangement, cette ferveur artistique, qui semble presque compulsive, se mêle à la douceur, à la fraîcheur ou même, à une certaine candeur engagée qui se transpirent de son travail. Axant son cheminement artistique sur la féminité universelle et les questions qu’elle pose, l’artiste présentera ses photographies, toujours accompagnées de textes, de réflexions ou d’éléments visuels apportant une valeur ajoutée à ses œuvres.
Expo: La photographie en Miroir
Galerie Detour / avenue Jean Materne 168 / 5100 Jambes (Namur)
Du 10 juin au 30 juillet 2009
La galerie est ouverte du mardi au vendredi de 12h30 à 17h30 et le samedi de 14h à 18h à l’exception des jours fériés.
Marqué dès les débuts du médium photographique par quelques œuvres remarquables signées H. Bayard (« Autoportrait en noyé », 1840) ou O.G. Rejlander, l'autoportrait est devenu dès les années 1920 un genre photographique de plus en plus exploré.
Car c'est bien d'exploration qu'il s'agit lorsque l'image de soi, extraite du continuum espace-temps, permet d'interroger son identité, physique ou mentale, de se composer une attitude - du face à face-miroir tenté par presque tous les photographes, tant hommes que femmes, égaux dans la curiosité et la fascination narcissique, à l'utilisation du photomaton, moyen de base de la scrutation pour de nombreux artistes, des années '20 aux prémices des années 1970.
A cette époque, suite aux interactions entre photographie et arts plastiques, la tendance est à l'auto-représentation faisant l'objet de mise en scène, de mise en fiction, ouvrant sur la multiplicité des facettes d'un seul personnage, sur la critique d'une société dans ses composantes parfois aliénantes, voire sur l'expression de la complexité d'un individu aux prises avec ses paradoxes et ses antagonismes.
Le corps, en soi et comme métaphore de l'âme, est alors souvent mis en jeu voire en péril lorsqu'il est l'objet de déni dans sa représentation même ou de dépassement des limites lors de mises en situation ou de performances.
Et parfois, alors qu'aucun visage ou corps n'est visible, l'artiste, se projetant fortement dans tel fragment de réalité qu'il a choisi de photographier, nous fait ressentir la volonté d'autoportrait confiée à l'image.
Expo: Edouard Hannon (1853-1931) / Photographies de Russie
24/06/2009 au 06/09/2009
Espace Contretype
Plus d’un siècle après leur création, les photographies d’Edouard Hannon sont présentées dans la demeure qu’il fit édifier en 1903. Edouard Hannon était ingénieur et photographe et travaillait depuis 1876 pour le compte de la société Solvay. En 1883, il fut nommé administrateur de la société et participa à l'expansion de l'entreprise belge. Pour ce faire, il accomplit de nombreux voyages de par le monde: il se rendit à Syracuse et à Detroit aux Etats-Unis, ainsi qu’au Canada et en Russie. De ces missions qu’il effectua pour la compagnie Solvay, Hannon rapporta une importante quantité de clichés photographiques à caractère sociologique et documentaire, souvent d'une grande qualité esthétique, où apparaît sa maîtrise tant sur le plan artistique que technique. En 1874, il fut l’un des membres fondateurs de l’Association belge de Photographie. Ses qualités en photographie apparentent sa démarche à celle de Stieglitz à la même époque aux Etats-Unis. Elles sont surtout sensibles dans ses portraits et ses photographies de voyages. Edouard Hannon prit entièrement part au mouvement pictorialiste. Il demeure, aux côtés de Léonard Misonne, Romain Ickx et Gustave Marissiaux, l’un des plus brillants représentants de ce mouvement.
Expo: Stephane G. Schollaert / ÉMOTIONS ET LUMIÈRES
24/06/2009 au 06/09/2009
Espace Contretype du
À l’occasion de l’exposition de Stéphane G. Schollaert, son ouvrage Emotions et lumières, édité à compte d'auteur en 1998, sera vendu à la librairie de Contretype.
Emotions et lumières: texte de Bernard Marcelis, Elingen, 1998, 90 pages, 29 x 29 cm. Prix de vente: 25 €.
Exposition: Gael Turine / Aujourd'hui c'est demain
Sur les grilles du Parc Royal de Bruxelles / du 7 mai au 18 juin 2009, prolongé jusqu'à la mi juillet
Des photos dans la rue... Images intimes et rassurantes, contredites par les mots et le nom de maladies qui les accompagnent. Seul le mot peut briser la carapace de notre indifférence face à des gens apparemment sans histoire, souffrant de maux qui n'ont le plus souvent rien de bien spectaculaire.
Et un livre de Eric Sariban et Gaël Turine
Eric Sariban est pédiatre cancérologue à l'Hôpital des Enfants à Bruxelles. En 2004, il réalise avec Aurore D'Haeyer un premier livre, Demain j'irai mieux, publié aux Editions Robert Laffont, sur le quotidien de l'unité de cancérologie où il travaille. Dans cette unité, furent tournés une séquence de l'émission Striptease intitulée Nez rouge et globules blancs et un film documentaire également intitulé Demain j'irai mieux, réalisé par Vincent Detours et Dominique Henry qui pendant 18 mois ont suivi des enfants durant leur traitement.
Agrégé en sciences oncologiques et professeur à l'Université Libre de Bruxelles, Eric Sariban, dirige aussi un laboratoire de recherche axé sur les globules blancs du sang, et est responsable d'un programme de coopération universitaire avec les centres de cancérologie pédiatrique de Rabat et de Casablanca.
Gaël Turine est l'auteur de plusieurs livres monographiques dont Aveuglément (Photo Poche Société, Nathan), Avoir 20 ans à Kaboul (Alternatives éditions), Other Worlds (Husson éditeur), et il a participé à l'édition d'ouvrages collectifs. Son travail est exposé en galeries et dans des musées, il est publié dans la presse internationale, et a également été primé. Il a bénéficié de bourses en Europe et aux Etats-Unis. Gaël Turine est représenté par l'agence VU à Paris.
Expo: Calle Sophie
Du 27 mai au 13 septembre 2009
Bozar Expo / Palais des Beaux arts de Bruxelles
L'oeuvre de Sophie Calle est véritablement impressionante!
Parce qu'elle tourne souvent autour de la mort, de la douleur et de la perte. Qu'elle emmène symboliquement sa mère, décédée déjà, vers le pôle Nord pour l'y laisser... Qu'après une rupture, à New Delhi, elle recueille la douleur des autres,... Ou qu'avant celle-ci, au Japon, elle change le sens de chaque jour qui précède en le surchargeant visuellement d'un "Douleur J-autant de jours"...
Parce qu'elle joue de la contrainte pour retourner le monde comme une chaussette. Filée par un détective privé, elle le sait, il ne sait pas qu'elle le sait. Qui contrôle qui? Invitant des gens à occuper son lit, elle envoie celui-ci aux Etats-Unis pour un hôte qui n'envisage pas le déplacement...
Parce qu'elle cherche surtout. Toujours. Comme ces fourmis qui quittent le rang et s'engagent dans l'exploration des territoires futurs. Au hasard dirait-on, mais avec une persévérence absolue à quitter toujours le droit chemin. Et quelque chose aurait-il été trouvé, ne pas s'y intéresser un seul instant pour repartir à nouveau...
Et pour ceux qui sont rétifs à l'art contemportain, ils liront utilement le "Leviathan" de Paul Auster pour y retrouver, sous un autre nom, une Sophie Calle en ses oeuvres.
Expo: Gilbert & George / Jack Freak pictures
Galerie Baronian_Francey / 2, rue Isidore Verheyden / 1050 Bruxelles
11 Sep au 31 oct 2009
Expo: Carlos Perez
Du 5 août au 12 septembre 2009
Young Gallery Knokke / 811 Zeedijk / 8300 Knokke
Vincent Delbrouck / Beyond History / Havana 1998-2006
30 mai au 20 septembre 2009
Au musée de la photographie de Charleroi
www.museephoto.be/
Expo de photographies ? Installation ? Là aussi, sortir de l'expo de Duane Michals et se retrouver face à "ça" n'est pas la chose la plus facile.
Il faudrait pouvoir s'y plonger dès l'entrée. L'univers de VD est glauque tout autant que ses images. La salle fourmille de dizaines de textes, qu'il faudrait plus que le temps d'une visite pour parcourir entièrement.
Un bon conseil... inversez le sens habituel de la visite: commencez par "Vincent Delbrouck / Beyond history / Havana", passez ensuite chez "Christian Lutz / Protokol", terminez le cycle des expos temporaires chez "Duane Michals / 50"... et, évidemment, s'il vous reste temps et énergie, ne manquez pas les collections permanentes.
Par ordre alphabétique, les photographes de la prochaine Promenade des Artistes de Chastre, les samedi 19 (14-18h) et dimanche 20 (10-18h) septembre 2009.
Henry Brousmiche
Hervé Champagne
Charles Lemaire
Françoise Racquez
Michel Salberter
Bertrand Vandeloise
Jean-Marie Vandeloise
Plus de détails suivront ici au sujet de ces différents auteurs.
Christian Lutz / Protokoll
30 mai au 20 septembre 2009
Au musée de la photographie de Charleroi
www.museephoto.be/
Peut-être est-ce l'influence de l'exposition de Duane Michals, qui elle m'a captivé, ou bien le sujet lui-même, mais je ne suis pas vraiment rentré dans cette exposition.
De (trop) grands tirages, des couleurs (trop) vives, et toujours une franche distance entre le spectateur et la scène jouée devant lui.
Le livre de Christian Lutz rendra peut-être mieux compte de ce travail que son exposition.
Duane Michals / 50
30 mai au 20 septembre 2009
Au musée de la photographie de Charleroi
www.museephoto.be/
J'y suis allé de manière très candide, m'attendant - comme le plus souvent avec les expos du musée de Charleroi - à découvrir un parfait inconnu - pour ma faible culture des auteurs photographes -.
Ce fut bien le cas pour 99% de sa production... mais j'y ai retrouvé, avec énormément de plaisir, "Paradise Regained" (1968) où un couple, très digne et conformiste se transforme d'image en image de petits fonctionnaires en nouveaux Adam et Eve, sans changer de place. Etonnement tout de même, parce que j'imaginais cette série en couleurs (l'idée du paradis terrestre sans doute) et de grandes dimensions (alors que les tirages, comme la plupart de ceux exposés là tournent en général autour du 18x24). Toutes ses séries sont de la même qualité et du même intérêt.
Je me suis bien amusé... tout autant que les deux ados qui m'accompagnaient.
Evidemment, quitter Namur, Liège voire Bruxelles pendant toute une journée ne se fait pas sans appréhension. Et il y a encore certains aventureux qui s'engagent dans de telles expéditions sans GPS, voire même sans avoir consulté Google Earth!
C'est avec une pensée émue que nous pensons à eux. Et peut-être ce plan sommaire les incitera-t-il à affronter cette épreuve.
Une petite précision tout de même: malgré la taille du point qui marque sa localisation et celle des caractères sur ce plan, Chastre est bien plus petite que Louvain-la-Neuve et Gembloux, et à plus forte raison que Namur, Liège et Bruxelles. Mais franchement, ce n'est pas une raison pour ne pas venir!
Planifiez votre expédition! On vous attend...
Programme:
Conférence: Vendredi 18 septembre 2009 / 20h
Expositions: Samedi 19 septembre 2009 / 14-18h / Dimanche 20 septembre 2009 / 10-18h
Concert de clôture: Dimanche 20 septembre 2009 / 19h
L'épreuve du jury est franchie.
Epreuve, façon de parler... plutôt une occasion annuelle d'avoir un retour détaillé et indépendant sur notre travail de l'année. Il était composé cette année de Anne Deliège, notre professeur d'histoire de l'art et de la photographie, Nadia Kever, que je ne connaissais pas jusque là, Luc Stokart, déjà membre du jury les deux années précédentes, et enfin Jacques Vandenberg, membre du jury d'il y a deux ans.
D'autant plus intéressant que nous avons pu assister à toutes les présentations de travaux, de 14 à 18h non stop. L'occasion d'entendre des commentaires qui nous questionnent... celui aussi, au vu des désaccords ou au moins des points de vues différents des membres du jury, de pouvoir par la suite relativiser (et analyser) les choses quand les critiques s'adressent à notre travail.
J'ai en tout cas enregistré quelques idées et attend l'écho de quelques autres par mes petits camarades qui ont assisté à ma présentation (et auront donc pu y assister avec plus de détachement).
Allez... vivement la fin des vacances et la rentrée des classes!
Exposition André Goldberg / My sweet melancholy blues
Du 9 mai au 28 juin 2009, à la Maison de la Culture de Namur
Ouvert tous les jours, de 12 heures à 18 heures
André Goldberg mène conjointement des activités de photographe, de réalisateur et de professeur. Il occupe aussi un poste de responsable du Secteur Arts plastiques au Centre culturel Jacques Franck, à Saint-Gilles (Bruxelles).
Diplômé de l’École de photographie de la Ville de Bruxelles, André Goldberg s’initie à la réalisation en autodidacte. Dans son travail, il confronte différentes données (sociologiques, culturelles, affectives…) dans le but de mieux sonder son sujet. En témoigne sa première exposition personnelle à l’atelier Sainte-Anne en 1993 où étaient présentés des portraits de plasticiens. Ce projet a ensuite évolué vers la forme d’une édition (La Lettre Volée) dans laquelle chaque visage faisait face à un objet-fétiche ramené par le modèle. Un commentaire sur la rencontre complétait cette confrontation insolite.
Ces interactions entre différents médiums se retrouvent dans nombre de ses projets, notamment dans celui consacré aux rescapés des camps de concentration (Le Passage du témoin) : les photographies des survivants étaient assorties de témoignages. À partir de 1997, André Goldberg réalise ses premiers films qui relèvent plus de la fiction que du documentaire. Il s’agit de portraits d’artistes dans lesquels il livre sa propre vision de l’œuvre plastique (Comme un torrent, De l’inexistence du temps, Le Syndrome Plastique…). Suivent d’autres films (L’art en ville, 9 propositions d’artistes, De l’absence) toujours en lien avec l’univers artistique. Son travail s’ouvre également à d’autres disciplines, notamment avec l’art vidéo et la danse contemporaine auquel il consacre plusieurs projets (Gadget- Study #1, Thanatos).
Dans l’exposition présentée Espace Meuse, André Goldberg prolonge les réflexions abordées dernièrement dans ses travaux les plus récents. Il interroge nos comportements culturels avec Les Pleureuses, un triptyque vidéo qui montre le corps d’un défunt (panneau central) encadré par deux femmes aux costumes sombres (volets latéraux). La gestuelle des danseuses évoque les rites liés à la mort et à l’enterrement. Avec cette installation, Les Pleureuses, l’artiste revient sur une tradition ancestrale qui remonte à l’Antiquité.
Une seconde installation, Les Brûlures du Souvenir, met en scène une série d’écrans dans lesquels on peut observer des photographies d’enfants qui disparaissent peu à peu sous les flammes. Ces images calcinées évoque l’absence, la mémoire et les traces d’un temps révolu. Et l’artiste de nous poser la question : « Quels sont les rêves qui ont guidé nos fantaisies enfantines ? De quoi furent animés nos espoirs dans la vie ? Comment imaginions-nous nos vies futures ? "
Exposition Karine Deparnay / Paysages de la Mer Baltique
Du 9 mai au 28 juin 2009, à la Maison de la Culture de Namur
Ouvert tous les jours, de 12 heures à 18 heures
Jeune photographe française, Karine Deparnay est diplômée de l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre (2002).
À la Maison de la Culture de Namur, Karine Deparnay présente un travail (Paysages) réalisé fin de l’année 2001, début 2002. Il s’agit d’un mur d’images composé de trente-trois photographies argentiques couleurs 6 x 6 réalisées en ex-Allemagne de l’Est, en Pologne et en République tchèque. Ce travail est le résultat de deux voyages effectués le long de la mer Baltique. Karine Deparnay a conçu ces images comme un carnet de route. «Elles furent la réponse à des sentiments éprouvants face à ces paysages désolés». Pour figurer cette émotion, la photographe présente son travail comme un mur de clichés, invitant le spectateur à les regarder comme un ensemble et non « image par image ». Le tout est ainsi constitué de pièces individuelles qui se répondent les unes aux autres tels les différents chapitres d’un livre. Le chemin tracé par Karine Deparnay nous invite à naviguer à travers nos propres souvenirs.
L'occasion de voir (ou de revoir) deux des tirages sur bâche présentés en septembre 2008 à Louvain-la-Neuve.
Vernissage dans les salons de l'Ermitage (23 rue de l'Ermitage, 1300 Wavre) mercredi 17 juin à 18h / exposition des élèves finalistes
Ouverture des portes du nouveau bâtiment (18 rue du Chemin de Fer, 1300 Wavre) / exposition de tous les élèves d’ateliers
Exposition et portes ouvertes du jeudi 18 au dimanche 21 juin 2009 de 14h à 18h
L'occasion de juger sur pièces un avant goût de mon exposition de septembre.
Vernissage dans les salons de l'Ermitage (23 rue de l'Ermitage, 1300 Wavre) mercredi 17 juin à 18h / exposition des élèves finalistes
Ouverture des portes du nouveau bâtiment (18 rue du Chemin de Fer, 1300 Wavre) / exposition de tous les élèves d’ateliers
Exposition et portes ouvertes du jeudi 18 au dimanche 21 juin 2009 de 14h à 18h
A partir de juin, Jean-Marie Vandeloise organise des stages de photographie en Ardennes, dans la vallée de la Semois. Plusieurs thématiques possibles en fonction de la saison.
La durée est variable, 1 jour, 1 week-end, 1 semaine en fonction du souhait des groupes (min 4 pers)
Possibilité d'hébergement dans un endroit magique assuré par Jean-Marie et son épouse.
Les prix sont très abordables!
Alors allez prendre "UN GRAND BOL D'AIR".
Découvrez une nature généreuse, ses lumières, ses brumes.
Profitez de son expérience, sa connaissance du terrain.
Allez-y goûter la quiétude la forêt, simplement, naturellement.
Beaucoup de photos présentes sur le site de Jean Marie y ont été réalisées (menu: Paysages-Semois).
A noter que ces stages sont ouverts à tous supports: noir/blanc, couleur, numérique.
Expo: Paysage E(t)moi / Forum des Halles de Louvain-la-Neuve / Place de l'université, 1348 Louvain-La-Neuve
Du 12 au 24 juin / Lundi - vendredi de 9 à 17h. Samedi de 11 à 17h.
L'Atelier d'Ecriture Photographique de Louvain la Neuve a entamé cette année une réflexion photographique inspirée par la récente résidence d'artiste à l'UCL du paysagiste français Michel Desvigne et s'est fixé comme objectif d'apprendre à voir les paysages qui nous entourent pour en comprendre les mécanismes qui les produisent, en décrypter les évolutions, et en situer les enjeux.
Il ne s'agissait donc pas pour les auteurs de produire des "cartes postales", mais de faire ressentir au spectateur ce qui les a séduits, laissés perplexes, interrogés, fait rêver, irrités, amusés, fait rire, inquiétés, exaspérés.
Parmi les thèmes abordés:
* le Mémorial de l'Holocauste à Berlin
* Bruxelles à cœur ouvert
* Doel: un village sacrifié
* "Tout fout le camp"
* Mon paysage (chaque auteur exprime en une image ce que le mot "paysage" évoque pour lui).
Expo / Herman Bertiau / Décalage Horaire
Galerie [Image]² (image au carré) / 59, rue de la Madeleine / 1000 Bruxelles
Du 28 mai au 28 juin 2009
Entre le flou noir et blanc de ses photos de femmes voilées délicatement dévoilées et l’éclat des couleurs vives des chemins qu’il a empruntés d’Afrique en Asie en passant par Bruxelles, Herman Bertiau parcourt notre planète de paradoxes en décalages horaires.
Deux séries que tout semble opposer, « Chemin faisant » et « Trouble(s) », composent sa nouvelle exposition chezImage au Carré.
L’une, en couleur, propose un ensemble de photos de voyage qui s’écarte résolument du reportage classique. Herman privilégie ainsi les couleurs et les matières, et donne à voir des images où le sujet s’efface au profit d’une composition picturale décalée et poétique. C’est le mystère, la grâce, le jeu avec les formes ou la lumière qui l’intéressent.
Alors que l’autre, qui réunit tous les ingrédients de la fiction, est une variante orientaliste en noir et blanc dans laquelle des femmes voilées sont mises en scène. Herman s’amuse à brouiller nos préjugés et altérer la perception des images pour en augmenter la charge érotique et le mystère. « Trouble(s) » est un jeu sur le thème « voiler/dévoiler», une mise en abîme où le flou se substitue au voile, où le trouble est affaire d’émotion.
Expo: Fading
Musée d'Ixelles / Rue Jean Van Volsem, 71 / 1050 Ixelles
25 juin au 13 septembre 2009
FADING réunit pour la première fois au Musée d’Ixelles les œuvres de quarante artistes contemporains belges, tous actifs sur la scène nationale et internationale. Consacrée à la peinture et la photographie, l’exposition examine le langage critique élaboré par ces artistes face à la profusion d’images véhiculées quotidiennement par notre société de consommation.
Sur une période allant de 1975 à nos jours, FADING présente des artistes remarquables pour leur exploration des limites de l’effacement dans l’image. L’absence suggérée, la présence outrée ou l’état imaginaire de l’oeuvre d’art constituent la base de ce picturalisme.
Mais FADING se joue de la fidélité de l’image au réel. La notion d’estompage est ici mise au service de la reconstruction du réel par diverses manipulations plastiques : le portrait, la nature-morte, le paysage, le fragment, le photographique, le filmique, le digital, le sculptural, l’architectural.
Les artistes de FADING vous invitent à plonger au coeur de leur propre interprétation de la réalité, dans un univers où se mêlent le flou et l’esthétisme.
Le catalogue de l’exposition est à concevoir comme un ouvrage de référence autant qu’un bel objet. Le commissaire, Sven Vanderstichelen, y explique la démarche qui a conduit à l’aboutissement de FADING :
FADING est né de mon aspiration à confronter l’indifférence frisant la nausée que m’inspirent les images médiatiques et l’émerveillement que me procure la contemplation d’une oeuvre d’art.
(…) les oeuvres de cette exposition, tout comme cet ouvrage, sortent des mains d’artistes qui s’efforcent de façonner la réalité, mais n’en sont pas moins conscients de s’inscrire dans une histoire (de l’art) et d’appartenir au monde (de l’art). ( Sven Vanderstichelen, commissaire )
D’autres auteurs (Willem Elias, Johan Swinnen) y redéfinissent le mouvement dans lequel s’inscrivent les artistes de FADING tout en soulignant la continuité qui les relie aux courants artistiques majeurs.
Les artistes exposés ont pour caractéristique de vouloir subjectiver l’objectivité. Ils se situent par conséquent dans un entre-deux. A une extrémité, on mentionnera par exemple l’impressionnisme et l’expressionnisme. Le premier parce qu’il exacerbe l’impression subjective de l’objectivité en fonction des variantes du temps. Le second parce que l’objectivité y est une pure déformation subjective. A l’autre extrémité, on mentionnera les ready-mades du dadaïsme et du Pop Art ainsi que ceux des réalistes du XXe siècle. Les premiers parce qu’il n’est rien de plus objectif que de promouvoir l’objet lui-même en tant qu’oeuvre d’art. Les seconds parce que leur effort tendait à évincer la subjectivité de l’image. ( Willem Elias )
L’originalité du sujet fait de FADING un événement inédit qui confirme la volonté du Musée d’Ixelles de s’ouvrir à la création contemporaine. Depuis ses débuts, le musée a toujours accordé une place de choix à l’art contemporain, tant du point de vue de la programmation que des acquisitions, soucieux de maintenir cet esprit ambitieux et éclairé d’une certain “tradition de la contemporanéité”, considérée comme l’un des pilliers de l’aura de l'institution.
FADING est ainsi bien plus qu’une « simple » exposition d’art contemporain.
En effet, elle pose un regard aiguisé sur une problématique majeure de l’art actuel, présente les valeurs sûres et les espoirs de l’art d’aujourd’hui et de demain, révèle des expérimentations esthétiques des plus intéressantes et réussies et, de plus, écrit une page de l’histoire de l’art tout comme l’une du Musée d’Ixelles…
Une exposition dès lors marquante et incontournable à plus d’un titre ! ( Claire Leblanc, conservatrice du Musée d’Ixelles )
ÉCRAN D'ART (PROJECTION)
Le 11 juin 2009 à 21H30
au Cinéma Arenberg / 26 Galerie de la Reine / 1000 Bruxelles
PICTURING MANHATTAN
Picturing Manhattan rassemble des films rarement montrés de cinq photographes de renommée qui avaient un lien particulier avec l'île de New York. L'immensité visuelle et la vivacité inoubliable de la métropole offrent d’ innombrables possibilités de sujets. Manhatta, une collaboration entre Paul Strand et le peintre Charles Sheeler, est une œuvre expressive par des prises de vues atypiques qui évoquent l'animation urbaine en l’espace d’une journée. Avec ses scènes de rues, Helen Levitt a ouvert la voie à un nouveau style documentaire au sein de la photographie américaine. Elle montre des images d'enfants qui jouent, évoquant la dure réalité de Harlem.
Pour Rudolph Burckhardt, la ville a toujours été une muse, il saisit ici la beauté à la fois dynamique et chaotique de ce lieu. S’écartant de son approche photo journalistique, Raymond Depardon utilise ici les travelings latéraux pour “capturer” la ville, la présentant ainsi avec un certain recul. Broadway by Light de William Klein est un film rythmique abstrait teinté d’une sensibilité pop; il dépeint, à l’aide de panneaux lumineux, l'iconographie publicitaire et tout le spectacle se déroulant à Times Square et ses environs.
Prix d'entrée: 8 Euros
Picturing Manhattan:
Strand Paul & Sheeler Charles - Manhattan / 1921, 9', 16mm, b&w, silent.
Helen Levitt - In The Street / 1952, 16', 16mm ,b&w, sound.
Rudolph Burckhardt - Under The Brooklyn Bridge / 1953, 15', 16mm, b&w, sound.
Rudolph Burckhardt - Default Averted / 1975, 20', 16mm, b&w, sound.
Raymond Depardon - New York, NY / 1986, 10', 35mm, b&w, French Spoken.
William Klein - Broadway by Light / 1957, 11', 35mm, colour, French Spoken.
Écran d'Art est une projection mensuelle de films ou vidéos d’artistes organisée conjointement par Argos, Center for Art and Media, le Beursschouwburg et le Cinéma Arenberg en collaboration avec La Cambre et l’Espace Photographique Contretype.
Cette année, l'exposition des travaux d'élèves sera l'occasion de découvrir les nouveaux locaux attribués à l'Ecole des Beaux-Arts. Les ateliers de dessin, peinture, céramique, gravure, photographie, ainsi que pluridisciplinaires enfants, adolescents et adultes disposeront de locaux vastes et confortables. La Ville de Wavre ayant eu à coeur de bien faire les choses, la rentrée de septembre 2009 se fera dans une école à la fois lumineuse et réactualisée.
La remise des prix aux élèves finalistes aura lieu dans les salons de l'Ermitage (23 rue de l'Ermitage, 1300 Wavre) le mercredi 17 juin à 18h, directement suivie par l'ouverture des portes du nouveau bâtiment (18 rue du Chemin de Fer, 1300 Wavre). Ces journées "portes ouvertes", qui donnent à tous l'opportunité de rencontrer les professeurs, auront lieu les jeudi 18, vendredi 19, samedi 20 et dimanche 21 juin 2009 de 14h à 18h.
Les inscriptions pour l'année scolaire 2009-2010 auront lieu en juin, lors des journées portes ouvertes, en août, du mardi 25 au vendredi 28 de 16 à 18h, le samedi 29 août de 10h à 13h, lundi 31 de 16h à 18h.
La rentrée est fixée au mardi 1er septembre.
La Box Galerie inaugurera sa prochaine saison le 12 septembre 2009, avec une exposition des photographies les plus récentes de Michael Kenna.
Un certain parcours photographique
19 - 20 juin 2009
La saison qui s’achève est l’occasion d’un parcours libre de vernissages en finissages. 5 rendez-vous photographiques à ne pas manquer.
Le vendredi 19 juin de 18 à 21h et le samedi 20 juin toute la journée.
“Bizarre, bizarre.” Dans l’esprit du surréalisme
Jusqu’au 4 juillet
Box Galerie
88, rue du Mail - 1050 Bruxelles
Tél: 02/537 95 55
Du mercredi au samedi, de 14 à 18 heures
Vernissage le vendredi 19 juin de 18 à 21 h
Arno Rafaël Minkkinnen
jusqu’au 4 juillet
Le Café Français Art Gallery
Rue Ernest Allard, 43 - 1000 Bruxelles
Tél: 02/502 78 24 - Gsm: 0486 296 839
Ouvert du mercredi au vendredi de 14 à 18h
Samedi de 12 à 18 h
Vernissage le vendredi 19 juin de 18 à 21 h
Isabelle HAYEUR, “Formes de monuments”
jusqu’au 21 juin
Espace Photographique Contretype - Hôtel Hannon
1, avenue de la Jonction - 1060 Bruxelles
Tél: 02/538 42 20 - Fax: 02/538 99 19
Ouvert du mercredi au vendredi de 11 à 18 heures,
Samedi et dimanche de 13 à 18 heures (sauf jours fériés)
Vernissage le vendredi 19 juin de 18 à 21 h
Expositions Collective, “Regards sur le corps” ( plus de 30 grandes signatures de 1922 à aujourd’hui )
du 19 juin au 26 septembre
Polar + NKA* photography
108, Chaussée de Charleroi - 1060 Bruxelles
Tél: 02/537 81 36
Ouvert du mercredi au samedi de 14 à 19 h
Vernissage le vendredi 19 juin de 18 à 21 h
Rétrospective de Michel Comte
du 29 mai au 1er août 2009
Young Gallery
75b, avenue Louise (Place Wiltcher's - Hôtel Conrad)
1050 Bruxelles
Tél: 02/374 07 04 - Fax: 02/374 02 01
Vernissage le ve 19 juin de 18 à 21 h
Présentation des deux derniers ouvrages : ”Pêche en mots salés” de Catherine Le Goff et ”Maroc au-delà du miroir” de Charles Henneghien
Michel Husson. Galerie et Librairie Photos
142, chaussée d'Alsemberg (métro Albert)
1060 Bruxelles
Tél: 02/534 33 54
Du mardi au dimanche, de 14 à 19 h
Expo: Riyas Komu / India Contemporary
Au musée de la photographie de la Haye / du 28 mars au 21 juin 2009
Occupational stories III-VI / 2008
Quatre portraits noir et blanc en grand format du capitaine de l'équipe de football irakienne avec en surimpression une carte géographique
Expo: Jitish Kallat / India Contemporary
Au musée de la photographie de la Haye / du 28 mars au 21 juin 2009
365 lives / 2007
365 C prints (50x70 cm chacune) de carosseries avec une attention particulière à leurs blessures; au centre un squelette (littérallement) de voiture.
Expo: Jasper de Beijer / Fabulous Fictions
Au musée de la photographie de la Haye / du 25 avril au 30 août 2009
Déjà mentionné ICI
A la différence de Paolo Ventura, qui lui travaille avec des éléments, des décors et des personnages réels, Jasper de Beijer joue sur la presque illusion. Comme s'il était important que l'on sache que ce n'est pas réel, mais en même temps que cela pourrait l'être. L'explosion n'en est pas une, pas plus que les blessures et les morts ne sont que des figures de carton... et la crudité et la cruauté des situations devient plus supportable. Les personnages sont des miniatures, des figurines, et tout cela sent le plastique et le chiqué.
Mais en même temps, tout cela représente des situations qui sont ou ont été... et l'on se suspecte de voyeurisme.
Guerre et l'Afrique constituent ses principales sources d'inspiration.
Ici aussi, toutes les oeuvres sans titre, seule la série en a un.
Et ici aussi, le réel s'impose au delà du ridicule des maquettes. La photo de la série Udongo (sans titre #1) où un africain au chapeau de cow boy est entouré de deux personnages patibulaires évoque immédiatement la photo de Cédric Gerbehaye primée par le Nikon Press Award 2008. Alors que les scènes de religion traditionnelle font immédiatement référence au travail de Jean-Dominique Burton.
Impressionnant.
Expo / Paolo Ventura / Fabulous Fictions
Au musée de la photographie de la Haye / du 25 avril au 30 août 2009
Déjà mentionné ICI
Le monde de Paolo Ventura est proprement surréaliste, théatral ou cinématographique. Les choses qu'il photographie sont bien réelles - des hommes et des femmes de chair et de sang, des décors, fussent-ils de carton pâte - mais dans le même temps, elles dépassent ce réel, comme surjoué.
Intéressant aussi, le fait que la plupart des oeuvres ne sont pas titrées. Comme si l'auteur ne voulait pas nous enchainer plus encore à son imaginaire.
La guerre, comme chez de Beijer prend une place essentielle dans ces images.
«Fenêtres sur Mers – Photographies d’Ethiopie - Le site de Lucie - Thomas Chable»
Du 6 juin au 15 novembre 2009
Musée de la Préhistoire en Wallonie – Préhistosite / Rue de la Grotte, 128 / 4400 Ramioul
Tél. 04/275.49.75 / info@ramioul.org
Ouvert en semaine de 9h à 17h en semaine et de 10h à 18h le week-end, les jours fériés et congés scolaires – Compris dans le billet d’entrée général du Préhistosite.
Belgicum, photographies de Stephan Vanfleteren
Au Botanique du 04.06.09 au 09.08.09
De 12h à 20h tous les jours sauf lundi et mardi
«Montrer ce qui est indicible. Regarder ce qui ne regarde plus. Fixer ce qui est cave, évidé, ce qui n’est plus ou ce qui s’étiole. Stephan Vanfleteren est le photographe du passé, non, de la disparition. Il ne montre pas tant l’histoire que la fuite des jours. Photographe de l’irrévocable, sa photographie est une ré-évocation. Vaine, mais réconfortante. Désespérée, mais chaleureuse.»
Extrait de «Stefan Vanfleteren, Belgicum», David Van Reybrouck, éditions Lannoo
Le photographe belge Stephan Vanfleteren présente au Botanique une sélection remarquable de ses photographies de la Belgique sous le titre Belgicum. On y découvre, au fil d’environ 120 tirages, dans un style noir et blanc bien personnel, le regard aigu de ce preneur d’images à la renommée internationale. Cette exposition offre à voir une Belgique insoupçonnée, dans laquelle les vies et les lieux ressortent d’une manière étrange, un pays qu’on redécouvre inconnu, imbibé de banalité et d’exotisme à la fois. Belgique des visages, des gueules, des rites plus ou moins locaux, des petits moments, et des paysages insolites. Une Belgique intemporelle, qui se moque de ses propres frontières puisqu’elle exprime l’universel, dans sa chaleur et sa nostalgie, dans ses décalages géographiques et humains.
Stephan Vanfleteren est l’un de nos plus grands photographes. Collaborateur au Morgen mais aussi pour d’autres médias internationaux, primé de nombreuses fois, voyageur infatigable qui n’en oublie pas de regarder son pays, il est l’auteur de travaux sur le Sida au Kenya et au Botswana, sur le Mississipi, le métro de Londres, la boxe à Cuba, sur Calcutta ou encore le café au Costa Rica. Il est également portraitiste de nombreuses personnalités artistiques. Son regard sur la Belgique témoigne indiscutablement de son approche humaine, attentive aux clins d’œil mais aussi à la diversité d’une société aux multiples facettes, et aux visages riches d’histoires et de vies.
L’exposition est accompagnée d’un magnifique catalogue, avec un texte de David Van Reybroeck.
Expo: Awa MBENGUE / Fenêtres sur Mers
Du 6 au 26 juin
Vernissage le samedi 6 juin à 12h30
Centre culturel d'Engis / Rue du Pont 7 / 4480 Hermalle-Sous-Huy
Photographe sénégalaise, Awa Mbengue a vécu à Rufisque puis à Dakar.
Elle est, entre autres, l’auteur d’une série photographique sur les femmes de sa région.
Dans le cadre du projet « Artventure Visual Art Network », soutenu par le programme « Culture 2000 » de la Commission européenne.
Organisée par le Centre wallon d’Art Contemporain-La Châtaigneraie
Du lundi 8 juin 2009 au mardi 30 juin 2009 / Centre d'Information et d'Accueil de la Région wallonne / 48, Rue de Bruxelles / 1300 WAVRE
Les Photos-Univers sont le résultat de photos prises par Karl Renard et d'images collectées de-ci de-là.
Il s'agit de tout un travail de composition et de traitement de l'image. Il en résulte des photos à l'univers surréaliste et totalement imaginaire.
Karl Renard est Né à Namur le 28 septembre 1977. Après des études menées à l'Institut d'Enseignements des Arts, des Sciences, Techniques et Artisanats à Namur, il se spécialise dans le domaine de l'Industrie Graphique. De 1999 à 2000, il est dermoplasticien pour le Studio Evolution Tattooing à Marcinelle et travaille en collaboration avec Andy Nevyl. En 2000, il expose des photos sur le thème « Au fil de l'eau » dans le cadre des Journées du Patrimoine. En2001 débute son travail de la peinture à l'acrylique. En 2004, il s'initiatie au travail du verre chez le maître verrier Henri Dupont à Nivelles et participe l'année suivante Estiv'Art à Namur. Depuis lors, les expositions se suivent.
Venez le découvrir au Centre d'Information et d'Accueil de la Région wallonne à Wavre jusque la fin juin !
Christian Lutz / Protokoll
30 mai au 20 septembre 2009
Au musée de la photographie de Charleroi
www.museephoto.be/
Né à Genève (Suisse) en 1973, Christian Lutz a étudié la photographie au 75 à Bruxelles.
Christian Lutz a travaillé sur des sujets dans les Balkans, en Amérique latine, en Afrique occidentale ainsi qu'aux Etats-Unis et en Suisse.
Son travail a été souvent exposé.
Son sujet "Protokoll" a été nommé en 2007 pour la fondation HSBC pour la photographie et a reporté le prix Nicolas Bouvier en Suisse. Le livre "Protokoll" a remporté le prix du livre allemand de photographie 2007.
Christian Lutz décrit avec ironie l'environnement dans lequel ministres, politiciens et autres officiels s'agitent. Il s'amuse à révéler les niveaux du pouvoir et les hiérarchies qui structurent la politique.