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Une nouvelle expo se prépare, pour un public très particulier, dans un lieu très particulier...
Tous les détails suivront vers la mi octobre...
L'important n'est-il pas d'exposer, de prendre le risque de s'exposer...
L'excellent site Galerie Photo (le site français de la photographie haute résolution) offre enfin un test complet sur le Voigtländer Bessa III 667 et une discussion argumentée sur cet OVNI...
Je le confirme, à part une folding 8x10 complète, vous ne pourriez me faire plus plaisir qu'en m'offrant ce petit bijou!
No Comment (Nina Berman - photo -, Paolo Cossi - dessin -, Ronny Delrue, Jan Grarup - photo -, Johan Muyle, Kadir van Lohuizen - photo -, Anne Wenzel)
Galerie Jacques Cerami / Route de Philippeville 346 / 6010 Couillet (Charleroi)
Du 11/09/2009 au 17/10/2009
Une toute petite galerie que je visitais pour la première fois... (sur le R3 de Charleroi, sortie Philippeville, à la sortie, sur le rond point même, vous y êtes)
Une exposition de bric et de broc contemporain sur la guerre et la violence. En même temps d'une extrême variété d'inspirations et de techniques (du dessin à la sculpture en passant par la photographie) et d'une cohérence totale.
Et si l'ensemble des travaux sont intéressants, on reste inévitablement scotché cette grande photo couleur de Jan Grarup représentant un "squelette" d'immeuble que cotoient et parcourrent quelques hommes alors que le ciel est traversé de fumées inquiétantes: missiles ? obus ? traces d'incendies ?
Une halte indispensable pour tout visiteur du musée de la photographie de Charleroi.
Si vous vous êtes égaré à aller visiter l'expo Controverses au Botanique... rachetez vous en allant voir (tout au bout à gauche, puis un étage plus haut, l'excellente expo de Marie Sordat: Cendres.
Ses photos ont toujours un air d'inachevé... ou celui de témoigner d'un ratage constant de la photographie... Et c'est bien ainsi! Parce qu'elles m'ont donné l'impression de voir l'instant juste avant la photo... Celui où le photographe a vu quelque chose, de bien vague encore dans son oeil et dans sa tête... Celui où il se saisit de son appareil et l'approche de l'oeil...
Pour moi, c'est ça que les photos de Marie Sordat arrivent à représenter, tout ce que mon oeil a vu... sans les limites, les contraintes et les imperfections de ce que j'en ferai après dans une photographie précise...
Déjà mentionné ICI, il y a quelques jours...
En librairie, le livre m'avait tenté, me rappelant quelques cours et discussions universitaires déjà bien lointains sur le statut de l'image. J'espérais surtout voir ce débat déboucher réellement sur le terrain de l'art et, en confrontant le visiteur à l'image et au débat qu'elle suscite, permettre une réflexion plus large sur le statut de l'image dans notre société.
J'ai été bien déçu par l'exposition...
Par la piètre qualité de l'illustration qui ne permet pas de la dire "exposition de photographies". La lecture du livre devrait sans doute être moins frustrante.
Par la faiblesse des enjeux de "controverses" qui semblent se répéter à l'infini: la pédophilie, les droits sur les revenus financiers générés par les images,... et l'on a l'essentiel du débat...
L'un ou l'autre sujets paraissent plus intéressants (l'esthétisation de l'horreur, la vérité des images,...) tandis que d'autres sont d'un ridicule sans borne (la zoophilie d'Angelina Jolie...) sans que rien ne vienne organiser ces sujets en les regroupant dans tel ou tel espace, ni leur donner un quelconque ordre de priorité...
Moralité: achetez le livre ou empruntez le, mais ne vous égarez pas au Botanique pour cette expo sauf pour allez y voir l'excellente expo de Marie Sordat...
Vu aujourd'hui Maurice Derenne Ingenieur, photographe amateur en Chine (1911-1927), Copyright Leo Dohmen (1929-1999) et "Quelque Chose", les trois expositions actuelles du musée de la photographie de Charleroi.
Visite évidemment complétée d'un parcours des collections permanentes et d'un petit tour à la bibliothèque (sans compter le café !)...
J'ai été particulièrement intéressé par l'expo Dohmen. Mais, si elle m'a fait mieux comprendre et percevoir l'univers de ce surréaliste, certaines oeuvres (en particulier les différentes versions de l'ébéniste) m'ont déçu par rapport à la vision que j'en ai eu auparavant dans les collections permanentes. Il n'en reste pas moins que personne ne résistera à l'esprit iconoclaste des surréaliste agréablement présenté dans cette salle.
Elliott Erwitt / Retrospective
13/10/2009 - 17/01/2010
Gemeentemuseum Helmond
Plus de 130 photos noir et blanc de la période 1948-2001. Erwitt s'est surtout fait connaître par sa douce ironie, son humour et sa tendresse pour l'humanidé, des thèmes symboliques de l'esprit de l'agence Magnum.
Helmond se situe juste à côté de Eindhoven (150km de Bruxelles, 110km de Liège).
Exposition: The Family And The Land
De SALLY MANN (Lexington, Viriginia, USA 1951)
Du 26 september 2009 au 10 janvier 2010
Au musée de la photographie de La Haye (Pays Bas)
Tout dans les photos de Sally Mann (Lexington, 1951) est imprégné d'atmosphère; qu'il s'agisse de ses enfants qui grandissent, de la nature autour d'elle ou de la mort qu'elle met en image à sa manière particulière. Par l'emploi d'un appareil photographique antique et de procédés du 19ème siècle, son travail s'imprègne d'une authenticité que l'on peut presque goûter. Son regard unique sur le monde et sur la manière dont elle est capable de l'illustrer en ont fait une des photographes les plus importantes des Etats-Unis. Au Musée de la Haye sont à voir cette fin d'année les cinq séries les plus importantes de cette photographe où ses deux amours principaux sont à voir: la famille et le pays.
La rentrée, c'était effectivement le 1er septembre... et il m'aurait fallu recommencer l'école des Beaux-Arts de Wavre à cette date.
Mais bon... Il y avait d'abord mon expo, qui m'a pris tout mon temps (et même un peu plus) de ces dernières semaines... Le fait aussi que les inscriptions ne sont pas cloturées avant la fin septembre... Et puis enfin, le déménagement (ou plutôt les aménagements), qui n'est pas tout à fait terminé...
Et donc, ce vendredi soir cours d'histoire de la photographie (le dernier vendredi du mois, de 18 à 21h), et samedi, visite au musée de la photographie de Charleroi.
Début d'une troisième année de cycle (il en restera trois de plus) avec, en fin d'année, un jury qui va juger de mon travail.
Allez, l'ambiance est très bonne, les nouveaux batiments semblent géniaux (on verra à l'usage, en particulier pour le labo et le studio de prise de vue), ce qui devrait stimuler nos énergies et notre créativité...
Mon cartable est prêt...
Je ne pleurerai pas dans la cour de récréation...
Maurice Derenne / Ingenieur, photographe amateur en Chine (1911-1927)
19.09.2009 > 17.01.2010
Musée de la Photographie
Au début du siècle dernier, dans un climat à la fois archaïque et progressiste, la Chine décide de se doter d’un réseau ferroviaire. Des techniciens occidentaux sont sollicités pour participer à la modernisation du pays. Parmi eux, l’ingénieur belge Maurice Derenne (1888-1959) est arrivé à Tcheng Tcheou (aujourd’hui Zhengzhou) avec une chambre obscure en bois et des centaines de plaques en verre. Tout intéresse ce reporter amateur : la construction de la voie ferrée mais également la vie au quotidien, les cérémonies religieuses, les paysages sublimes… Son approche personnelle se distingue de beaucoup d’autres à la même époque.
Commissaire :
Marc Vausort, Conservateur du Musée de la Photographie
Expo: Marc Lagrange / Carole Congos
Le Café Français / 43 Rue Ernest Allard / 1000 Bruxelles
24/9/2009 - 21/11/2009
Un photographe inspiré par un modèle.
Expo: Objectifs BD
9/9/2009 - 17/10/2009
Galerie Petits Papiers / 1 Place Fontainas / 1000 Bruxelles
L’exposition est organisée dans le cadre de Bruxelles BD 2009 et fera l’objet d’une publication “Bruxelles, stories ” par les Editions Zanpano. Né à Ixelles en 1972, Patrick Van Roy se présente comme un photographe autodidacte guidé par l’unique plaisir de métamorphoser des lieux anodins. Cette fois, il partage ses univers épurés avec quelques grands noms de la BD. En effet, la galerie Petits Papiers a joué les médiateurs et proposé à une vingtaine d’auteurs de s’approprier quelque 60 photos pour y tracer leur vision de Bruxelles. Au rendez-vous : François Avril, Alex Barbier, Baudoin, Philippe Berthet, Silvio Cadelo, Philippe Druillet, Jacques de Loustal, Johan de Moor, William Hennen, Juillard, Levallois, Liberatore, Milo Manara, Jean-Michel Nicollet, Christophe Poot, Alec Severin, Gilbert Shelton, Joost Swarte, Yslaire et Alex Varenne. Demander à des auteurs de bande dessinée d’intervenir sur les photos de Patrick Van Roy tel est le défi lancé par la galerie Petits Papiers pour sa première exposition de rentrée en septembre. Ici point de case, de strip ou de phylactère, la BD flirte avec la photographie contemporaine. Patrick Van Roy n’est pas bédéphile. S’il avait entendu parler de quelques-uns des auteurs proposés par la Galerie, l’autre moitié lui était totalement inconnue. C’est donc sans aucun préjugé que le photographe bruxellois amoureux des lignes « claires », pures et désincarnées a choisi des lieux bruxellois méconnaissables. En effet, on ne reconnaît dans les 60 clichés sélectionnés aucun monument historique, icône ou symbole. Il photographie des lieux, des angles de vue nus, géométriques. Issues en partie du livre « Perspectives nocturnes » publiées dans le cadre d’une exposition réalisée pour la FNAC, ses photographies de nuit ont été prises en pause longue avec un 6x6. Il s’en dégage une impression surréaliste. Les perspectives baignées de lumières crues ou de jeux d’ombres fixent un cadre avant tout graphique. « J’ai choisi des photographies composées d’éléments urbains, des décors dans lesquels les auteurs peuvent intervenir. Je choisis toujours des lieux les plus ordinaires. Je tente de les rendre attirants autrement. Je n’ai jamais eu envie de faire de “belles photos” évoquant de “beaux endroits”. J’ai envie que le spectateur puisse voir au-delà du sujet ». Le point de vue de Patrick Van Roy a, d’emblée, séduit les auteurs. Jacques de Loustal, par exemple, a tout de suite adhéré aux images proposées. « Les espaces citadins et architecturaux, vides et résiduels de Patrick Van Roy sont très beaux. Ce sont des ambiances de nuit qu’il m’aurait plu de photographier. J’ai donc joué sur les univers désertiques dans lesquels j’ai réintroduit des éléments végétaux et animaliers. J’ai beaucoup travaillé sur des formes cachées, du noir sur du noir, du bleu foncé sur du bleu. Le résultat est très graphique, pas du tout anecdotique. Il s’agit d’un vrai projet artistique. »
Exposition de photographies de Marie Sordat / Cendres
24/09/2009 - 01/11/2009
Galerie du Botanique
«Tout conspire aujourd’hui à ne vouloir raconter qu’un univers symétrique, peuplé de gens sans âme et fait de couleurs ternes. Représenter un monde blasé en somme, et ainsi croire le raconter tel qu’il est.
Marie Sordat n’est pas de ces coureurs de mode qui confondent cynisme et pertinence. Marie Sordat aime, et donc s’implique, et donc dérange, et donc nous donne à voir ce monde enfin dégagé de ses colifichets.»
Jean-François Spricigo
A la galerie, parallèlement à l’exposition Controverses, le Botanique ouvre ses portes à un travail fort, un regard singulier. Marie Sordat est une photographe française installée à Bruxelles. Elle propose, avec cette nouvelle exposition, un univers particulier, fait d’ombres et de silhouettes, de vie noctambule, de fantômes apaisés. Une humanité à la fois inquiétante et rassurante, capturée d’une manière inédite. Une raison supplémentaire, pour les amateurs de photographie, de visiter le Botanique cet automne.
Expo: "Controverses"
Du 24/09/2009 au 22/11/2009
Au Museum du Botanique
A noter, l'existence de l'ouvrage de Daniel Girardin et Christian Pirker, "Controverses, une histoire juridique et éthique de la photographie", Actes sud, 2008 dont la lecture complètera utilement la visite de cette exposition.
Une exposition du Musée de l’Elysée (Lausanne) présentée au Museum du Botanique
Commissaires d’exposition : Daniel Girardin, conservateur du Musée de L’Elysée et Christian Pirker, avocat au barreau de Genève.
Depuis son invention, la photographie est au centre de nombreuses controverses et de procès retentissants. Symbole de liberté d’expression et de droits individuels, mais aussi de pouvoir et d’argent, la photographie est confrontée régulièrement aux autorités, à la censure ou à la manipulation. Elle a suscité des débats passionnés qui se sont souvent terminés devant les tribunaux. Initialement présentée au Musée de l’Elysée de Lausanne, l’exposition propose un large choix de photographies, célèbres ou méconnues, qui ont fait l’objet de procès ou de polémiques, des débuts du medium jusqu’à l’art contemporain. L’ensemble permet ainsi de mieux comprendre le regard que les sociétés et les cultures portent sur les images de leurtemps.
Comme le dit Christian Pirker, un conflit - une controverse est «une plaque sensible» qui révèle les convictions d’une société à un moment déterminé. Pourquoi une photographie est- elle admirée, une autre censurée ou poursuivie ? Si ces controverses nous apprennent sur le passé, elles peuvent également nous éclairer sur notre présent et notre manière de considérer aujourd’hui ces photographies qui ont été contestées à une autre époque. Une manière essentielle de se questionner sur la façon dont on nous donne et dont nous recevons les images dans notre présent.
Les thèmes de l’exposition recoupent donc plusieurs questions : la véracité d’un message et l’authenticité d’un tirage photographique, les droits d’auteur, la question de ce qui est moral de photographier ou non, et le pouvoir politique des images et de leurs contrôles. Les cas choisis, oeuvres d’arts aussi bien que photographies d’ordre publicitaire ou journalistique, permettront de mieux comprendre les principes majeurs que sous-tendent la création photographique depuis 1839 à nos jours.
Des grands noms comme ceux de Nadar, Lewis Carroll, Man Ray, Henri Cartier-Bresson, Sebastião Salgado, Abbas, Christo et Jean-Claude, Oliviero Toscani sont présentés ainsi que des photographes anonymes ou moins connus mais qui ont tous suscité l’effroi éthique ou légal de la pensée dominante à un moment donné.
Un parcours passionnant à travers les moeurs et les images, auquel nous ajouterons quelques images qui ont suscité la controverse chez nous.
Photographes présentés : Hippolyte Bayard, Nadar (Félix Tournachon) et Adrien Tournachon, Mayer et Pierson, Lewis Carroll, Bruno Braquehais, Eugène Appert, Napoléon Sarony, Secundo Pia, Max Priester et Willy Wilcke, Rudolf Lehnert et Ernst Landrock, Lewis Hine, Frances Griffiths, Charles Spencer Chaplin, Man Ray, Pierre Gilliard et Marc Bischofflewis Hine, Henri Cartier-Bresson, Robert Capa, Captain Provand et Indre Shira, Walter Frentz, Service Photographique de l’Armée Anglaise, David E. Scherman, Evgueni Khaldei, Boris Lipnitzki, Robert Doisneau, Richard Avedon, Alberto Korda, Marc Garanger, Ladislav Bielik, Nasa, Irina Ionesco, Larry Clark, Horst Faas, Nick Ut, Guy Bourdin, Ian Bradshaw, Garry Gross, Robert Mapplethorpe, Jahangir Razmi, Art Rogersgraham Ovenden, Sebastião Salgado, Frank Fournier, Annelies Strba, Andres Serrano, Jock Sturges, Robert Maass, René Zurcher, Oliviero Toscani, Kevin Carter, Paul Watson, Wolfgang Volz, Abbas, Jacques Langevin, Alberto Sorbelli, Gisela Blau, Tom Forsythe, Luc Delahaye, Steven Meisel, Todd Maisel, Mladen Antonov, Michael Light, David Lachapelle, Isabelle Favre.
Avertissement à l’attention du public : Certaines images sont susceptibles de heurter la sensibilité des visiteurs et tout particulièrement du jeune public.
Activité annexe : Après la visite de l’exposition, des ateliers seront organisés pour des groupes scolaires et plus spécifiquement pour des élèves de 16 à 18 ans. L’atelier propose de refaire le procès de certaines photographies. Les élèves devront prendre le rôle de la défense ou des plaignants et devront débattre afin de faire valoir leurs arguments auprès du jury et du juge. Un jeu de rôle donc, qui permettra aux élèves de participer activement et de comprendre les enjeux de l’exposition de manière ludique, tout en aiguisant leur esprit critique et leur sens de la rhétorique.
44èmes Fêtes de la Saint Martin à Tourinnes la Grosse
Du 8 au 29 novembre 2009
Expositions à Tourinnes-la-Grosse
Ouverture les dimanches 8, 15, 22 et 29 novembre (de 13 à 18h) et les samedis 14, 21, 28 novembre (de 14 à 18h)
Plan et informations dans le catalogue disponible à l'accueil (école communale de Tourinnes la Grosse, face à l'église)
Le Festival "In" fera cette année la part belle à) la photographie. Après le musée de la photographie à Charleroi, de nombreux musées, galeries et espaces à Bruxelles, Namur, Lille, Paris et autres endroits prestigieux, Christine Felten et Véronomique Massinger présenteront leur travail camera obscura à Tourinnes.
Commissaires aux expositions, elles invitent par ailleurs d'autres artistes de renom dont: Jean-Paul Brohez, Isabelle Detournay, Alain Janssens, Frédéric Lefever, Jacques Vilet, Jim Sumkay, Vincent Beeckman.
San oublier le Festival "Off" dont, comme d'habitude, la visite indispensable à l'atelier de l'image.
Trois jours après mon expo "Closer / Plus près / Dichterbij", les 19 et 20 septembre 2009 à Chastre, un petit bilan.
L'impression d'avoir été, pendant deux jours, sur un nuage. Et la difficulté extrème d'en redescendre.
Un merci ne suffira pas pour rendre compte de ce jaillissement d'émotions qui me revenait du public. Beaucoup ont trouvé un adjectif que je reçois comme le meilleur compliment. Et alors que je craignais de leur paraître violent ou morbide, presque obscène, ils ont trouvé mes photos "touchantes". Et la vieillesse que je leur laissais à voir ne les touchait pas que moralement mais il semble qu'ils ressentaient le contact d'une main, d'un bras ou d'une joue rien qu'à regarder mes photos.
Et, comme pour mes expositions précédentes, si j'ai apprécié l'acceuil global... j'ai aussi quelques réactions individuelles, fussent-elles muettes qui me tiennent particulièrement chaud au coeur et ne s'effaceront pas de si tôt.
La difficulté maintenant de savoir comment continuer.
Passer à autre chose? Radicalement. Comme j'en aurais l'envie, et en avais le projet, après avoir été - moralement - encombré pendant une année par le poids de ces sujets.
Ou bien creuser les choses, avec cette certitude de ne pas être allé jusqu'au bout, ou de ne pas avoir été assez radical. Et qu'il y aurait au minimum, dans ce matériau, le sujet d'une nouvelle exposition.
Il faudra sans doute faire les deux, sous peine de me trahir dans un cas comme dans l'autre.
La certitude que j'exposerai encore, et que ce sont ces expositions qui font une partie de ma motivation et me permettent de construire mes projets. Pour vivre sur un thème presque exclusif le temps d'une grossesse au moins... Le moduler ensuite en fonction du lieu où il sera exposé (ne comptez pas sur moi pour accrocher telle qu'elle une série déjà élaborée)... Et assister ensuite, presque en voyeur, à la confrontation entre le public et ces images...
La satisfaction enfin que personne n'ait eu le geste, un peu obscène dans ce contexte, de me proposer d'acheter une photo... mais que beaucoup aient émis un merci ou un bravo qui leur venait clairement d'ailleurs que d'une coutume de politesse...
Expo: Storyboard / Miyoko Caubet, Abel Llavall-Ubach, Chantal Vey
Good friday Gallery / Rue d'Ophem, 55 / 1000 Bruxelles
11/9/2009 - 10/10/2009
Expo: Paula Bouffioux / Canal Zone
TOUR ET TAXIS - Entrepôt Royal / Av.du Port, 86c, , 1000 Bruxelles
22/09/2009 - 11/10/2009
Canal Zone: Un regard photographique et contemporain sur l’infrastructure et les quais du Port de Bruxelles, représentés comme des paysages imaginaires, comme un territoire frontière avec la ville; exposition d’une quarantaine de grands et moyens formats en couleurs et en noir et blanc dans un espace vaste de l'Entrepôt Royal avec vue. Sur le canal.
Ce projet est la suite de canal waters un travail photographique sur l’eau du canal, sur ses couleurs et jeux de reflets, dont certaines photos sont reprises dans cette expo.
Première expo photo Tristan Descamps
Espace 16 / Rue de la Seuwe, 16 (îlot de la Grand Place) / 7000 Mons
Du 11/9/2009 au 11/10/2009
promenade des artistes de Chastre
Expo de Charles Lemaire et Françoise Racquez
Rue de Corsal 59, 1450 Cortil-Noirmont
10h-18h - promenade des artistes
Ce samedi... un vernissage super... Présents... H. Brousmiche, C. Lemaire, F. Raquez, M. Salberter, B. Vandeloise, JM Vandeloise, soit 6 photographes sur huit...
Et puis du monde durant presque toute l'après midi... avec, heureusement, quelques moments pour relacher la pression...
Et, même après la fermeture, encore quelques visites d'artistes qui s'étaient enfin échappés de leur exposition...
Et toute la journée, un temps superbe...
Allez, c'est bon signe pour demain...
promenade des artistes de Chastre
Expo de Charles Lemaire et Françoise Racquez
Rue de Corsal 59, 1450 Cortil-Noirmont
12h30 - vernissage
14h-18h - promenade des artistes
18h-22h - nocturne pour les artistes
Et dimanche, expo de 10 à 18h
Allez, je suis presque prêt...
Malgré une petite catastrophe en cours d'après midi... 13 cadres par terre... 9 vitres cassées... Le tout, presque totalement réparé depuis...
Allez... espérons que ça ira mieux demain...
Copyright Leo Dohmen (1929-1999)
19 septembre 2009 au 17 janvier 2010
Au musée de la photographie de Charleroi
www.museephoto.be/
J'ai déjà écrit ici tout le bien que je pensais de sa photo "l'ébéniste"!
"Surnommé «Le Pirate» par ses proches, enrobé depuis son décès en mars 1999 d’un parfum sulfureux, Leo Dohmen est une figure légendaire du surréalisme en Belgique et du milieu artistique anversois de l’après-guerre.
Ingénieur et chimiste le jour, tenancier de bar clandestin la nuit, colporteur d’ouvrages et d’œuvres du surréalisme belge à Paris, collagiste et photographe inculpé pour pornographie, marchand d’art puis galeriste, il y avait là assez d’ingrédients pour faire de Dohmen un personnage de roman, de ceux que l’on croise dans les pages de Cendrars, de Monfreid ou de Kessel, avec sa sil-houette épaisse, rentrant au petit matin, un colt serré sous la veste.
Il semble que Leo Dohmen eut cent vies tant l’on se perd en sa chronologie qui le voit multiplier les activités, les voyages, les rencontres, se jouant du sommeil, des bons usages, croisant sur sa route les personnages les plus divers, des plus recommandables aux plus redoutables, figures incertaines d’une vie tendue vers toujours plus de liberté, toujours plus d’argent, celle-ci aidant à atteindre celle-là. (voir suite sur le site du musée de Charleroi)"
Maurice Derenne / Un Belge en Chine
19 septembre 2009 au 17 janvier 2010
Au musée de la photographie de Charleroi
www.museephoto.be/
"Au début du siècle dernier, dans un climat à la fois archaïque et progressiste, la Chine, malgré un régime impérial autoritaire et de violentes et sanglantes révoltes, est ouverte sur le monde et attire de nombreux hommes d’affaires et leurs familles. En 1911, la crise éclate et provoque la chute du régime impérial. Le 12 février 1912 l’empereur Kuantong, plus connu sous le nom de Puyin (voir le film de Bernardo Bertolucci, Le Dernier Empereur) abdique. L’insurrection républicaine prend alors le pouvoir avec de nombreux projets de réformes sociales, économiques et politiques. Cependant, le pouvoir civil tombe rapidement aux mains des militaires aux ambitions dictatoriales, dirigés par le commandant en chef des armées du Nord, Yuan Shikai, qui prend le pouvoir dès le 14 février 1912. Le parlement est dissout en 1913.
C’est dans ce contexte historique tourmenté que la famille Derenne arrive en Chine en 1911. Le pays avait alors décidé de se doter d’un réseau ferroviaire moderne et performant. Des techniciens occidentaux sont à l’époque sollicités pour participer à sa modernisation. Ingénieur, né à Namur en 1888, Maurice Derenne, s’installe à Tcheng Tcheou (aujourd’hui Zhengzhou) avec une chambre obscure en bois et des centaines de plaques en verre.
Curieux et attentif, il va, en amateur, fixer par la photographie son environnement quotidien, la famille, les amis, les excursions mais aussi, bien évidemment, la cons-truction de la voie ferrée. Il s’intéresse également aux populations locales, à la vie animée des rues, aux cérémonies religieuses, aux paysages vastes et grandioses… Son approche photographique se distingue de celle de beaucoup d’amateurs à l’époque... (voir suite sur le site du musée de la photographie de Charleroi)"
Expo: Pierre Chalon, Gaelle Audo, Thierry Cuvillier / Les Des Corps
Musée de la pierre de Sprimont / Rue J Potier 54 / 4140 Sprimont
Du 19/09/2009 au 10/10/2009
Ouverture en semaine 9h-12h, 14h-17h, week-end 14h-17h
promenade des artistes de Chastre
Le circuit des photographes, à l'attention de ceux qui ne veulent s'arrêter que là où expose au moins un photographe...
Et si vous suivez cet itinéraire, sachez que vous pourrez acheter le plan/programme (au prix de 3 euro) dans le lieu B (rue de Charlemont à Gentinnes)
Agrandir le plan
Petit à petit...
Je viens de tailler 17 passe partout avec ma fenêtre standard de 19x19cm...
La crampe guettait...
Les encadrements ce sera pour plus tard... et surtout à un moment où j'aurai un peu plus de lumière...
Allez... ça avance... dans deux jours on y est...
Pour moi, les choses se mettent en place...
Les granges sont (plus ou moins) rangées, j'aurai la journée de vendredi pour règler les détails et faire un tour au parc à container avec ce qui doit être évacué...
Mes feuilles de passe-partout sont taillées à dimension (30x40cm)... il faut encore tailler les fenêtres... Pas ce soir... Demain sans doute...
Et puis finaliser les encadrements... pour faire un test d'accrochage vendredi...
Allez, on y est bientôt...
Exposants 9 / Exposition collective de photographes luxembourgeois: Gérard Bissot, Claire Boone, Céline Chariot, Christian Deblanc, Nathalie Fastrès, Jean-Marie Martin, Philippe Moës, Bernard Pajak
Le Manoir d'Aye / Rue Grande 16 / 6900 Aye
19-20 et 26-27 septembre 2009, de 10h à 18h
"EXPOSANTS 9", c’est - finalement - 8 photographes qui présenteront leurs travaux dans le superbe cadre du manoir de Aye (Marche-en-Famenne, Belgique). Nature, portrait, abstrait... Pas de doute, les thèmes seront aussi variés que les approches.
Possibilité de rencontrer tous les photographes le dimanche 20 septembre dès 13h30.
Une exposition organisée par Rencontres-photo asbl avec le soutien de la Province de Luxembourg.
Expo: Photo vision / Maria Harsa
15 septembre 2009
Centre tchèque / 60 rue du Trône / 1050 Bruxelles
Ouverture poétique par Petr Král. Quelques mots sur mes photographies A quinze ans, je suis entrée à Prague à une Ecole graphique où j’ai étudié la photographie chez Rudolf Skopec et Josef Ehm. J’ai alors appris à voir le monde autrement. Je le regardais comme à travers le viseur d’un appareil. Mes photos étaient en noir et blanc et je les travaillais moi-même au laboratoire. J’étais dès le début attirée par les objets de chaque jour où je découvrais parfois un visage fantastique, parfois simplement une belle composition abstraite. Après le baccalauréat, j’ai commencé à faire de la photographie industrielle mais la nature est restée mon grand amour. La beauté de celle-ci et d’objets « ordinaires » autour de nous, de détails modestes que peu de gens remarquent, c’est précisément ce qui inspire mes prises de vue. Depuis 1982 mes photos sont en couleur. Leurs sujets apparaissent dans le classement de mes archives : Eau, Glace, Bois, Feuilles, Murs, Métal. Je peux revenir sans fin à ces sujets mais les photos ne sont jamais pareilles. Je n’arrange pas les objets de mes photos, ne change rien aux « motifs » que je trouve ; je les prends tels que je les ai découverts. Je compose la forme finale directement sur place, dans le viseur même de l’appareil. Je ne modifie rien après coup, pas plus la couleur que le cadrage de l’image. Je photographie digitalement depuis un an à peine. Je fais toujours mien: « Si ma photo éveille l’imagination du spectateur, j’ai atteint mon but. » Et mes plans pour l’avenir ? J’ai toujours rêvé d’illustrer par mes photos de la poésie. Maria Harsa
Michael Kenna / Oeuvres récentes
12/9/2009 - 24/10/2009
Box Galerie / 88 rue du Mail / 1050 Bruxelles
Expo: Cacher / Montrer
De Marc Rossignol
12/9/2009 - 31/10-2009
Centre Culturel Jacques Franck / Chaussée de Waterloo, 94 / 1060 Saint-Gilles
Une vision rapide du travail de Marc Rossignol (Namur, 1954) peut présenter parfois pas mal d'incompatibilité tant les formes que prennent certaines oeuvres semblent en désaccord l'une avec l'autre.
Car, que peuvent bien faire ensemble trois portes en voyage, parties du Maroc pour s'inscrire dans des façades situées à Saint-Gilles, à deux pas du Centre culturel jacques Franck qui les accueille (elles y forment une palissade plus ou moins fermée), des dessins animés sous forme de parcours promenade, un claustra suspendu constitué de bouchons en plastiques rouges et blancs récoltés par le cercle de pathétique mathématique, etc ?
"Inscrire, comme en 1993 "NORD-SUD-EST-OUEST" sur le trottoir devant le Centre culturel Jacques Franck à Saint-Gilles, lieu de vie et de passage. Le voyage tant dans l'espace que dans le temps constitue un élément de ce montrer cacher... Un seul soleil pour tout le monde."
A une lecture apparemment très locale - saint-gilloise - de ces propositions, émane une curiosité et une générosité qui sont le propre de cet homme-là, le discours en devient très vite universel.
Expo: Club Photo 96 / La société dans tous ses états
Château de l’Ermitage / Rue de l'Ermitage 23 /1300 Wavre
Samedi 12 et dimanche 13 septembre 2009, de 10h30 à 18h
Les photographies exposées mettront l’accent sur la place de l’Homme au sein de différents aspects de la société dans nos contrées et dans les pays en voie de développement.
L’Homme au travail dans l’industrie et l’artisanat, la vie culturelle et sociale et la convivialité au sein de la société, dont le Jeu de Jean et Alice, constitueront les principaux sujets traités.
Exposition: Aki et Gilles
Chez David Rose (optométriste lunetier) / 16 rue de Trèves / 1050 Bruxelles
Lundi-vendredi 9h-19h / entrée libre
11/09/2009 - 30/10/2009
Aki est illustratrice et débordante de créativité. Gilles est concepteur d’interaction et passionné par l’image. Les deux réunis forment un duo imparable quant il s’agit de mettre la technique et le sérieux au services des idées les plus saugrenues.
Expo: Richard Pak / Pursuit
11/9/2009 - 11/10/2009
Vernissage 11/09, 19.30h en présence de l'artiste
Sieglitz 19 / Arthur Goemaerelei 19 / 2018 Antwerpen
Projet élaboré sur une période de six années, Pursuit est la chronique désanchantée d'une Amérique idéalisée. Etant un admirateur fanatique de la littérature du cinéma et de la peinture américaine, j'ai créé ma propre Amérique idéale, un lieu pas si imaginaire peuplé de héros de fiction.
Le propos de ce travail est de juxtaposer une construction mentale à la réalité de la vie quotidienne américaine et de mettre en image "l'expérience américaine" comme une métaphore d'une expérience plus large.
Le titre fait écho à la déclaration d'indépendance des Etats-Unis établissant le droit de tout américain à "la vie, la liberté et la poursuite du bonheur".
Expo: Masahisa Fukase / The Solitude of Ravens
11/9/2009 - 17/10/2009
Vernissage 10 Sept. 18h-21h
FIFTY ONE FINE ART PHOTOGRAPHY / Zirkstraat 20 / 2000 Antwerp
Exposition du photographe japonais Masahisa Fukase (1934) et ses séries de photos expressionistes sur les espèces de corbeaux. Ces séries sont représentatives d'une obsession couvrant une dizaine d'années pour le monde obscur des corbeaux, photographiés au cours de voyages annuels entre Tokyo et Hokkaido, le lieu de naissance de Fukase.
Clairement, la réputation de porteur de mauvais sort, traditionnellement attribuée aux corbeaux dans presque toutes les cultures, domine aussi ces sombres clichés. Ils présentes des corbeaux isolés ou en groupes massifs, de jour ou de nuit dans divers paysages japonais.
Perchés sur des poteaux téléphoniques, sur des plages ou aux limites des villages, la présence éternelle et terrifiante du corbeau imprègne ces photos de signes de perte possible, probable ou certaine. Cette photographie noire ne coincide sans doute pas par hasard avec la période difficile qui suivit le divorce du photographe en 1976.
Le travail de Fukase fait partie de cette nouvelle photographie japonaise imprégnée de l'expérience personnelle en total contraste avec l'idéal qui prévalait auparavant d'une impassibilité maniérée.
Ce travail a été essentiellement présenté au Japon et aux USA, où Fukase a été présenté comme l'un des rares expressionistes véritables en photographie. En 1974 Fukase a pris part à l'exposition sur la nouvelle photographie japonaise du MOMA. En 1977, il s'est vu attribuer le prix Ina Nobuo.
Exposition: Apnées / Ludivine Sibelle
11/09/1009 - 27/09/2009
Photo Gallery / 10 Galerie de la Reine / 1000 Bruxelles
Tous les jours de 11 à 18h.
De coutume, la génération émergente de photographes, ou plasticiens plus largement, ancre sa pratique dans la vélocité du monde actuel. Boulimie de références, profusion d'images, discours bétonnés. Chez Ludivine Sibelle, c'est tout le contraire..
La série photo Apnées qu'elle présente en septembre 2009 à Photo Gallery met en scène les images de catastrophes naturelles, que les "grands reporters" s'attèlent à exploiter comme ultime figure de style...
Expo: Pepe Higuero / Casitas de Extremadura
10/09/2009 - 17/09/2009
Cercle des Voyageurs / Lievevrouwbroersstraat 18 / 1000 Bruxelles
Entrée libre / Accessible tous les jours de 12h à 20h
Les 'Casitas' de Pepe Higuero saisent des espaces naturelles et des paysages urbains en Extremadura : les cérisiers célèbres de la Vallée de Jerte, Sierra de Montánchez, le pont romain d'Alcantara, Monfragüe, Trujillo, Cáceres... L'artiste présente de la photographie traditionelle, mais utilise aussi des techniques modernes. Certaines photos font référence à la réalité, des autres sont des compositions de l'imagination.. La sélection a le but de vous approcher à la réalité variée du paysage d'Extremadura et la particularité de ses monuments. Caceres, ville aspirante au titre de Capitale Européenne de la Culture en 2016, est la manifestation essentielle de ce qu'on peut découvrir en Extremadura.
Expo: Useful Life
10.09.2009 > 21.02.2010
MuHKA / Leuvenstraat 32 / B-2000 Antwerpen
Le MuHKA montre une exposition-clé concernant le développement de l’art contemporain en Chine. Le musée en a acquis l’entièreté du contenu avec des œuvres importantes des trois artistes chinois contemporains les plus influents au niveau international: XU Zhen, YANG Fudong et YANG Zhenzhong. L’exposition Useful Life a été montée à ShangART pendant la Biennale de Shanghai en 2000. Celle-ci a donné, pour la première fois, aux artistes l’espoir de plus d’ouverture de la part des pouvoirs publics ; c’était la première biennale où des artistes étrangers ont été admis. Cette acquisition témoigne de ce moment crucial, de la collaboration des artistes, d’un projet qui faisait place à la société, tel qu’il s’est présenté alors pour la première fois. On y voit notamment Tonight Moon de YANG Fudong et I will die de YANG Zhenzhong.
Commissaire :
Bart De Baere, Directeur du MuHKA
En co-production avec Bozar-expo. En collaboration et à l’occasion de leur exposition à la Galerie Baronian-Francey. Rencontre avec Gilbert & Georges, débat anime par le critique et écrivain anglais Michael Bracewell. Traduction simultanée en français.
8 septembre 2009 / 20h15
Palais des Beaux-Arts - BOZAR / r. Ravenstein 23 / 1000 Bruxelles
Organisé par Jeunesse et Arts Plastiques
Prix: MEMBRES JAP / GRATUIT (RESERVATION PREALABLE SOUHAITEE : 02 507 82 25) / NON-MEMBRES : 6 EUROS / CHOMEURS, ETUDIANTS… : 4,50 EUROS (VIA LA BILLETERIE BOZAR 02 507 82 00)
Gilbert, né en 1943 en Italie dans la ville de San Martino, et George, né en 1942 en Angleterre à Devon, se sont rencontrés en 1967 dans les cours de sculpture de la Saint Martin’s School of Art d’Oxford et, depuis plus de 40 ans, ils vivent et travaillent ensemble à Londres, les deux ne faisant qu’un seul artiste, Gilbert & George.
Expo: François Goffin / Les choses simples
Vernissage le mardi 8 septembre 2009, de 18 à 21 h, en présence de l'artiste
Présentation/signature de l'ouvrage "Les choses simples" (Editions Yellow Now).
Exposition du 9/09 au 18/10/2009.
Espace Photographique Contretype / 1, avenue de la Jonction / 1060 Bruxelles
"JLG: Pourquoi avoir choisi le titre «Les choses simples»?
FG: Ça vient du fait que depuis l’âge de 10-12 ans, mes parents me répètent toujours «Fais des choses simples», le côté paysan condrusien de faire les choses très simplement, et après le fait que j’adore le jazz, l’album «My Favorite Things» de Coltrane. Comme je ne connais pas un mot d’anglais, je me demandais ce que ça voulait dire parce que c’était tellement merveilleux, et je me suis dit que c’étaient mes idées favorites, et que c’était ce que je voulais faire en photo, parce que je sortais des études, je n’avais pas envie de faire du documentaire bien précis, et j’avais cette boîte à choses simples, des images où je ne me prends pas trop la tête. Et de nouveau, en référence à l’album de Coltrane, ce qui était extraordinaire c’est qu’il a une espèce de phrasé qui revient de manière incessante, où il bifurque quand il veut et il y a une espèce de liberté que je trouve extraordinaire, et je me suis dit que c’était ce que je voulais faire en photo. Un travail où il y a une certaine ligne, mais sans prise de tête et où on sent la liberté non-stop et le plaisir de faire des images."
... Voir suite sur le site de Contretype
Expo: Charles Paulicevich / Bruxelles Capitales
04/09/2009 - 26/09/2009 13.00 - 18.00
B-Gallery / 55 Rue de la Madeleine / 1000 Bruxelles
A l’étranger, « Bruxelles » est devenue synonyme d’autorité européenne, charriant par là les clichés d’une ville administrative, décisionnaire.
Luttant contre cette dépersonnalisation, Charles Paulicevich présente une série qui redonne vie à la cité et nous renvoie la force des écarts poétiques qu’elle contient.
Dans deux semaines, c'est la 11ème promenade des artistes à Chastre. Le site web, avec la liste des artistes par lieu est enfin disponible.
Tous mes tirages sont faits. Avant de les encadrer, il me faut encore:
. faire la sélection définitive (en attendant évidemment d'avoir encore des surprises au moment de l'accrochage)
. les scanner pour le pdf que je produirai à l'attention de ceux qui ne pourront pas venir
Allez... plus que deux semaines, et on verra l'accueil du public.
Expo: Sebastien Jauquet / Simplicity
Cut Me / Rue Léon Lepage 61 / 1000 Bruxelles
5/9/2009 - 30/9/2009
Expo: Stephan Vanfleteren / Portret 1989-2009
4/9/2009 - 3/12/2009 / mardi-dimanche 10h/18h
Wintercicus Mahy / Lammerstraat, 11 / 9000 Gand (Gent zuid)
Voir ICI le commentaire de Jean-Marie Vandeloise sur cette exposition.
Expo: Photo Explorers-Zichten en Gezichten van Hoboken
Kasteel Sorghvliedt / Marneflaan 3 / 2660 Hoboken (Antwerpen)
05/09/2009 au 27/09/09
Frank Lambrechts, Raf van den Bogaert et Mark Fissers livrent leur regard sur Hoboken: les gens, la nature et l'industrie.
Art'contest 2009
Espace Black Box / 142 rue de Stalle / 1180 Bruxelles
03/09/2009 - 12/09/2009
Art'Contest est un concours d'art actuel pour les jeunes artistes résidants en Belgique.
C'est aussi une occasion unique d'offrir une visibilité importante pour eux et leurs oeuvres, de nouer de nombreux contacts avec les professionnels du secteur.
Art'Contest met l'accent sur la dynamique des rencontres et la promotion des jeunes artistes, avec une galerie d'artistes sur le site et une exposition à la Black Box qui clôture le concours.
Lauréat 2009:
Le premier prix : Maxime Brygo a gagné le prix Boghossian (2.000€), le prix Eagle Travel (un voyage à ArtBasel), un exposition individuelle dans le cadre du We Project
Le deuxième prix : Julien Dubuisson a gagné le prixCadr'art.
Le troisième prix : David de Tscharner a gagné le prix Winsor & Newton.
La résidence au Wiels sera attribué dans les prochains jours à un des trois lauréats,...
Eric de Behr expose ses tirages 'Attitudes' (1965-2007)
3/9/2009 - 27/9/2009
Image au Carré / Rue de la Madeleine, 59 / 1000 Bruxelles
Comme d'aucun naissent avec le don pour le dessin, Eric est né avec un objectif à la place de la rétine. Bourlingueur depuis toujours, il a ramené de ses nombreux tours du monde des carnets de voyages truffés de photos tantôt émouvantes, tantôt drôles, mais toujours empreintes de beaucoup de sensiblilité.
Armé de son Leica, Eric saisit les instants pour nous en dévoiler l'histoire qu'elles cachent. Car chaque cliché nous raconte bien plus que la simple anecdote qui est suggérée. Habitude de directeur artistique publicitaire -métier qu'il a pratiqué pendant plus de 30 ans- ses photos sont d’une grande beauté esthétique, mais jamais gratuites ou anodines. Toutes sont le miroir de la vie. Toutes sont des attitudes de la vie.
Il est difficile de ne pas se laisser emporter par l'émotion qui émane de ses photos argentiques ou digitales.
Expo: Shirin Neshat / Games of Desire
3/9/2009 - 3/10/2009
Gladstone Gallery / 12 Rue du Grand Cerf / 1000 Bruxelles
Première exposition à Bruxelles de l'artiste new yorkaise Shirin Neshat. Elle est l'auteur d'une série Women of Allah dans laquelle des caligraphies Farsi sont mélangées avec des images politiques.
Dans "Games of Desire", son nouveau travail, Neshat continue à utiliser le mélange du film et de la photographie pour élaborer sur les structures rituelles qui définissent l'identité.
Shirin Neshat est née en 1957 à Qazvin, en Iran, et déménageat aux USA en 1974.
Expo: Samy Snoussi / Escales
1/9/1009 au 15/09/2009
Galerie Art fort reveur / 632 chaussée de waterloo / 1050 Ixelles
Photographies – Philippe Mailleux / RAVISSEMENT(S)
Vernissage le 8 septembre 2009 à partir de 19h00
Expo du 9 septembre au 24 octobre 2009 / à partir de 19h30, tous les soirs de représentations
www.atelier210.be
expo@atelier210.be
LE CAFE 210
Cette saison à l’Atelier 210, en plus du théâtre et des concerts habituels, nous avons le plaisir de vous ouvrir les portes de notre « Café » et de vous proposer un généreux condensé de la diversité du 210.
Tout au long de la saison, le Café 210 fera la part belle aux découvertes et à un enchaînement d’événements aussi variés que les « Jazz Cats », les « What The Folk ! » ou les « Lundimanches ». Dans cet esprit d’interdisciplinarité qui nous anime, le Café 210 entend s’imposer comme un lieu de rassemblement et de brassage culturel permettant la rencontre de publics et de disciplines d’horizons très différents. Toutes cependant ont un point commun : celui de se dérouler dans l’ambiance feutrée, chaleureuse et intimiste de notre bar.
Chaque mois, une nouvelle programmation, un nouveau rendez-vous…
Jazz Cats
Reflets de la jeune scène jazz belge actuelle, les Jazz Cats constituent une parfaite introduction au vaste monde du jazz. Variée et accessible, la programmation s’adresse tant aux néophytes qu’aux initiés. Un lundi par mois, venez découvrir et rencontrer les jazzmen de demain tout en savourant le meilleur du passé et du présent.
What the folk !
Plus que le style musical, c’est l’esprit folk que nous souhaitons mettre en avant durant ces sessions acoustiques. Un mercredi par mois, venez suivre, à un tout petit prix, les projets musicaux les plus intimes d’artistes confirmés ou à découvrir de toute urgence.
Lundimanches : court-métrages, musique, jeux de société, …
Pour le plaisir (le vôtre et le nôtre), les lundimanches vous proposent, une sélection maison de court-métrages de tous horizons ainsi qu’une palette de jeux de société, actuels ou tout droit sortis de votre enfance. Autour d’une ambiance musicale toujours aussi chaleureuse, les lundimanches c’est tous les premiers dimanches et lundis du mois… et c’est GRATUIT.
Le programme complet du Café 210 paraitra dans le courant du mois d’août.
Pour plus d’informations : www.atelier210.be
LE PÔLE EXPO
Avec la mise en place de cette première exposition, l’Atelier 210 démarre un nouveau projet ; celui de créer un espace d’exploration et de diffusion artistique consacré aux arts plastiques et visuels. A côté du théâtre, des concerts, du cinéma, il nous semble naturel que ce pôle d’activité puisse également être exploré à l’Atelier 210. Tout en créant un ensemble harmonieux au sein du lieu, l’objectif du pôle expo consiste à donner la possibilité à de jeunes talents de s’exprimer librement, tout en interrogeant le public sur des thématiques originales, qu’elles soient artistiques ou autres.
En tant qu’activité transversale, les points de convergence avec la programmation de l’Atelier 210 ne manqueront pas, avec, d’ores et déjà, deux évènements majeurs :
. le Festival « Edition(s) limitée(s) », du 25 au 30 janvier 2010 : au cours de cette semaine un peu spéciale, des dizaines de performances et d’évènements vous seront proposés à travers le lieu ; des créations interpellantes de par leur propos, leur originalité ou leur anticonformisme ; des spectacles courts, percutants, ludiques qui explorent le rapport avec le public ou questionnent les codes de la narration et de la représentation.
. Le « Living Theater », du 13 avril au 1 mai 2010 : pendant 3 semaines, le Living s’installe au 210 et présentera deux spectacles ainsi que des ateliers-laboratoires théâtraux autour de ceux-ci, ouverts à tous. A cette occasion, nous retracerons un parcours historique sur la base de projections, de court-métrages et de documentaires exclusifs, autant de témoignages de la portée artistico-politique de l’approche théâtrale offerte par le Living Theater.
PHILIPPE MAILLEUX – PHOTOGRAPHE
Musicien de vocation, Philippe Mailleux recherchait un moyen d’expression plus indépendant, qui ne soit pas lié à une contrainte de temps, d’espace ou de personnes. C’est ainsi qu’il s’est naturellement orienté vers la photo, en débutant par la lomographie. Par le biais de cette approche ludique et expérimentale, il s’est très vite rendu compte des opportunités que pouvait lui offrir cet art, lui permettant d’aller seul à la rencontre de nouvelles sensations, de nouvelles impressions, tout en donnant jour à des représentations sortant du cadre classique, académique.
« Essayer de rendre dans un cliché mes émotions, essayer de rappeler que nous ne sommes qu’une infime partie d’un tout, que nous sommes unis à chaque composante de la nature et des êtres qui nous entourent ».
Pour plus d’informations : www.philippemailleux.com
Plaisir solitaire dans un premier temps, Philippe Mailleux a rapidement eu l’envie de partager ces instantanés, ces quelques secondes de ressenti, pour nous livrer sa vision du monde. De ce point de vue, notre rencontre avec Philippe s’inscrit parfaitement dans la démarche artistique qui est la nôtre ; elle satisfait une envie commune, celle de se lancer dans l’aventure d’un premier projet d’exposition.
RAVISSEMENT(S) – PHOTOGRAPHIES
«Immobiles, des être et des objets figés sur lesquels seul le temps passe, des poses… elles ne nous racontent pas tant l’absence que le désir de ce qui manque. Statiques statues. Oui, le seul mouvement est celui du temps, il nous a laissé un post-scriptum ».
Quand on fixe un corps sur une pellicule, qu'on le sort du temps, qu'on le rend immobile, statique, statue, lui ôte-t-on sa vie ? Et cette vie, ce qui n’est plus qu’un corps représenté, qu'est-ce que c'est ?
A quoi tient-elle ?
Philippe Mailleux nous interroge sur ce qu'il y a au-delà de la photographie. Que ce soit en effaçant les détails de corps en noir et blanc, leur donnant une peau de marbre, ou en photographiant des statues à la peinture ridée, il construit des ponts entre l'animé et l'inanimé. Et puisqu’en photographie l'un comme l'autre sont immobiles, par cette comparaison, il semble nous dire que la vie réside dans la façon dont, personnellement, on comble le manque, l’absence de mouvement : en quoi le corps est-il plus vivant que la statue dès lors qu'il est représenté sans mouvement ? Et si l’on peut donner vie à une statue en la photographiant comme un corps… c’est ce que chacun projette dans la photo qui lui donne sa force vitale.
Alors que projetons-nous dans cette absence ?
De notre imagination naît la spiritualité que nous prêtons à ces figures, un vécu, une histoire, une conscience. L’homme a créé des statues et des corps dans le but de les adorer, dans leur spiritualité, de s’élever. Et si tout est icône, celles-ci sont païennes. La religion, un chemin tout tracé, comme semble nous l'indiquer cette photo dont la perspective amalgame une église à une autoroute (de la spiritualité), a de tout temps été restrictive : elle ne laisse pas la place au désir, et c'est du désir que naît ici l'adoration (le ravissement) du monde.
Il s'agit pour Philippe de regarder le monde avec une douceur un peu sombre : des couleurs saturées mais peu lumineuses, comme si c'était a nous d'aller y chercher la vie, un voile sur la peau comme une caresse, l'intimité d'un gros plan où certains détails sont mis en lumière ; un point de vue tout juste suggéré… une invitation à aller voir plus loin, à en désirer d'avantage.
Expo: Henk Cortier / Tourist
Elza & Hilda / Rue Léon Lepage 57 / 1000 Bruxelles
1/9/2009 - 4/10/2009
Une expo photo rafraîchissante de fin d'été!
Le photographe Henk Cortier expose une série de photos intitulées "Tourist" chez Elza & Hilda, le meilleur fleuriste de Bruxelles, proche du Marché aux Poissons.
L'oeil du photographe reflète le touriste en chacun de nous. C'est un ballet de lignes, couleurs et personnages qui nous invite à broder une histoire.
Comme dans toutes ses photos, Henk Cortier s'ouvre au monde réel et il en résulte des images qui, malgré ou grâce à leur simplicité, deviennent pertinentes.
C'est pure jouissance, ces rappels aux vacances envolées.